Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a déclaré qu'il "se sentait Israélien" jeudi lors d'une manifestation bi-partisane de soutien à l’entité sioniste organisée à Rome.
"La visite au camp d'extermination d'Auschwitz - de même que l'horreur pour la barbarie de l'holocauste - a fait naître en moi un sentiment de solidarité ineffaçable: depuis, je me sens Israélien", a déclaré le président du conseil, dans un message envoyé aux manifestants, repris par l'agence Ansa.
"La sécurité d'Israël dans ses frontières et son droit à exister comme Etat juif sont pour nous Italiens un choix éthique et un impératif moral contre tout retour à l'antisémitisme et au négationnisme et contre les menaces récentes, pour nous intolérables, d'agresser et de détruire l'Etat d'Israël", a ajouté le Cavaliere.
Berlusconi a réaffirmé son souhait d'"une solution" du conflit israélo-palestinien basée sur "deux Etats" « Israël » et un Etat palestinien.
De son côté, Gianfranco Fini, le président de la Chambre des députés qui a rompu fin juillet avec Silvio Berlusconi, a estimé qu'"Israël est l'avant-poste de la démocratie des valeurs de l'Occident au Moyen Orient".
Un peu auparavant, l'ancien Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar avait ouvert la manifestation en déclarant qu'"Israël n'est pas un pays du Moyen Orient mais un pays occidental du Moyen Orient". "Nous partageons avec Israël la même histoire et les mêmes menaces" et "chaque problème d'Israël est un problème pour nous tous", avait ajouté le créateur de la fondation "Amis d'Israël".
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"La visite au camp d'extermination d'Auschwitz - de même que l'horreur pour la barbarie de l'holocauste - a fait naître en moi un sentiment de solidarité ineffaçable: depuis, je me sens Israélien", a déclaré le président du conseil, dans un message envoyé aux manifestants, repris par l'agence Ansa.
"La sécurité d'Israël dans ses frontières et son droit à exister comme Etat juif sont pour nous Italiens un choix éthique et un impératif moral contre tout retour à l'antisémitisme et au négationnisme et contre les menaces récentes, pour nous intolérables, d'agresser et de détruire l'Etat d'Israël", a ajouté le Cavaliere.
Berlusconi a réaffirmé son souhait d'"une solution" du conflit israélo-palestinien basée sur "deux Etats" « Israël » et un Etat palestinien.
De son côté, Gianfranco Fini, le président de la Chambre des députés qui a rompu fin juillet avec Silvio Berlusconi, a estimé qu'"Israël est l'avant-poste de la démocratie des valeurs de l'Occident au Moyen Orient".
Un peu auparavant, l'ancien Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar avait ouvert la manifestation en déclarant qu'"Israël n'est pas un pays du Moyen Orient mais un pays occidental du Moyen Orient". "Nous partageons avec Israël la même histoire et les mêmes menaces" et "chaque problème d'Israël est un problème pour nous tous", avait ajouté le créateur de la fondation "Amis d'Israël".