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Et entraîne les Etats Unis dans un conflit armé dégénérant en guerre régionale voire plus ? Sûr de la faiblesse d’Obama, du soutien inconditionnel dans l’entourage proche de ce dernier à la Maison Blanche et au Congrès, agitant la énième reprise de négociations « indirectes » avec le gouvernement collaborateur de Ramallah pour enfumer l’opinion publique, Bibi prépare un sale coup bien pire que le Dubaïgate.
Photo courtoisie du ministere sioniste de la guerre
Récemment, l’amiral Mullen, chef de tous les Etats Majors des forces armées US est revenu de Tel Aviv très inquiet au point qu’il a exprimé tout haut et publiquement ses inquiétudes notamment celles de voir Israël entraîner les Etats Unis dans une guerre contre l’Iran.
La visite actuelle du Vice Président américain, Joe Biden, en Israël ne peut que renforcer ses inquiétudes. Ce dernier, un sioniste notoire vient de réitérer l’allégeance « absolue » du gouvernement de Washington à Tel Aviv.
Les inquiétudes de l’Amiral Mullen doivent être prises très au sérieux. Mullen a énormément d’expérience, il a servi pendant la guerre du Vietnam, mais connaît bien aussi les actions US engagées par le passé pour freiner Israël et l’empêcher de lancer des attaques contre ses adversaires.
Dés son arrivée en Israël le 14 Février, Mullen a fait clairement comprendre aux Israéliens l’objet de sa visite. Il a publiquement insisté pour affirmer qu’une attaque contre l’Iran serait un « gros gros gros problème pour nous tous, et je m’inquiète énormément des conséquences inattendues ».
Lors d’une conférence de presse au Pentagone le 22 Février Mullen a réitéré les mêmes propos et lorsqu’interrogé sur le programme nucléaire iranien qu’Israël et son Lobby à Washington affirment être militaire il a fait ces remarques :
« Je suis très inquiet des conséquences inattendues d’une quelconque action militaire. Pour l’instant, les pressions diplomatiques et économiques de la communauté internationale sont et devraient être utilisées en premier. En fait, j’espère qu’elles le sont et continueront de l’être. Aucune frappe quelque soit son efficacité ne sera elle-même décisive ».
Répondant à une question sur l’efficacité d’une telle frappe sur les installations nucléaires iraniennes il a répondu que « de telles frappes retarderaient d’un à trois ans « ce programme, expliquant que c’est ce qu’il voulait dire quand il a affirmé qu’aucune frappe ne serait « décisive ».
La position de Mullen, chef de tous les états majors des forces armées US, constitue le principal obstacle à ceux qui poussent l’administration Obama à attaquer l’Iran. Mullen ne croit pas qu’une «guerre préventive » contre l’Iran vaille le coût exorbitant qui sera payé par les deux parties en conflit.
Mullen sait également qu’il n’existe pas de traité de défense mutuelle entre Israël et les Etats Unis et par conséquent que les US n’ont aucune obligation légale d’assurer la défense d’Israël si les Israéliens déclenchent une guerre contre l’Iran. En d’autres termes juridiquement parlant Israël «n’est pas l’allié des Etats Unis » et on peut comprendre dés lors pourquoi Israël cherche absolument à intégrer l’OTAN. Mentionner en permanence la « relation spéciale » existant entre les US et Israël n’a pas force de loi.
C’est d’ailleurs Israël qui a refusé de signer un tel traité que les US lui avaient proposé après la guerre des 6 jours en 1967, un traité de défense réciproque espérant ainsi rétablir et maintenir le calme dans la région. Mais un tel traité nécessite d’avoir des frontières internationalement reconnues ce qui n’est pas le cas d’Israël et Israël ne voulait et ne veut toujours pas se séparer des territoires palestiniens conquis en 1967. De plus tout traité de ce type nécessite que chaque partie informe l’autre s’il décide d’attaque un pays tiers et Israël a toujours lancé ses opérations militaires par surprise.
Les inquiétudes de Mullen concernant l’éventualité REELLE d’une attaque d’Israël contre l’Iran se sont également traduites par le fait que selon la presse israélienne Mullen est allé jusqu’à prévenir Israël de ne pas s’aviser de répéter le genre d’attaque en mer, telle celle du USS Liberty le 8 Juin 1967, que l’aviation israélienne avait bombardé, tuant 34 marins américains et en blessant 170 autres. Mullen a clairement dit aux Israéliens que le soutien militaire US ne serait pas automatique si Israël provoquait d’une façon ou d’une autre des hostilités ouvertes avec l’Iran.
Netanyahou juge Obama faible
C’est évident que Netanyahou a définitivement jugé Obama comme étant, malgré ses envolées rhétoriques, un faible.Ce dernier continue d’envoyer à Tel Aviv de hauts responsables politiques US pour qu’ils supplient leurs homologues israéliens de bien vouloir daigner ne pas commencer une guerre avec l’Iran et participe au jeu d’enfumage de Netanyahou quand il envoie son émissaire spécial pour le Moyen Orient tenter d’organiser une énième reprise de négociations entre le gouvernement Netanyahou et le gouvernement illégitime de collaborateurs d’Abbas à Ramallah.
Ce n’est pas le Vice Président Joe Biden, supporter inconditionnel d’Israël actuellement en visite à Tel Aviv qui va faire pression sur Netanyahou. Biden, lors d’une interview sur ABC le 4 Juillet 2009 avait dit clairement qu’Israël étant une « nation souveraine » qu’elle avait par conséquent « le droit » de lancer une attaque militaire contre l’Iran, ajoutant en plus que Washington ne ferait aucun effort pour dissuader le gouvernement israélien. Autrement dit, Biden a d’ores et déjà donné son feu vert à une telle attaque , et sa visite ces jours ci ne fait que renforcer l’idée que l’Administration Obama est trop faible pour s’opposer aux velléités guerrières de Netanyahou et que par conséquent ce dernier a vu juste et considère que tout lui est désormais permis.
Netanyahou, qui connaît bien ce qui se passe dans les coulisses de Washington et qui dirige qui - il y a vécu plusieurs années servant notamment comme ambassadeur d’Israël - s’amuse probablement de toutes ses bouffonneries obamaesques. Il a eu amplement le temps de cerner la personnalité d’Obama qu’il a rencontré pour la première fois en Mai 2009 et comprit qu’il pouvait lui faire des pieds de nez en témoigne la décision rendue publique aujourd’hui en présence de Biden d’octroyer des permis de construire pour 1600 logements pour les colons juifs israéliens à Jérusalem Est.
Netanyahou a aussi pu constater la grande « flexibilité » d’Obama en matière de politique étrangère mais aussi nationale. Elu comme président des anti guerre il s’est laissé convaincre qu’il fallait intensifier la guerre en Afghanistan, se montrer de plus en plus agressif avec la Chine, promettre une chose à la Russie et faire l’inverse en matière d’installation de missiles antimissiles en Europe de l’Est. Les exemples ne manquent pas de son manque d’envergure politique et de son attitude pitoyable en ce qui concerne la politique des US au Moyen Orient.
Netanyahou s’est installé comme premier pilote dans la cabine de pilotage des relations US Israël grâce à l’influence sans précédent du Lobby sioniste américain dominé par le Likoud, le parti de Netanyahou, que ce soit au Congrès ou à la Maison Blanche où les Israéliens bénéficient de passes droits d’entrée l’un de leur plus grand supporter, et agent d’influence, Rahm Emanuel, y dirigeant le personnel et les activités dans l’entourage du président Obama. Lors de la Guerre du Golfe I en 1991, Rahm Emanuel alors tout juste la trentaine s’était rendu en Israël et avait servi comme volontaire civil sur une des bases de l’armée israélienne au Nord. Son père, Benjamin Emanuel, né à Jérusalem a servi dans le groupe terroriste sioniste l’Irgoun dont ont également fait partie les parents de l’ex ministre des affaires étrangères Tsipi Livni. Toute cette racaille terroriste sioniste et leurs rejetons ont occupé et occupent maintenant des postes politiques importants qui à Tel Aviv qui à Washington.
Les sales plans de Netanyahou
Sûr de lui arrogant à l’extrême comme peuvent l’être les terroristes Sionistes, Netanyahou peut choisir la provocation obligeant un Obama minable à soutenir une attaque israélienne contre l’Iran ce que l’Amiral Mullen a qualifié de « conséquences inattendues » mais qu’on peut aussi qualifier de conséquences prévisibles, Netanyahou poussant Obama dans un piège : l’obliger à engager des forces militaires US dans une guerre contre l’Iran.
Netanyahou a probablement dans ses tiroirs, près à l’emploi, un plan d’un incident du type Golfe du Tonkin qui pourrait éclater dans le Détroit d’Hormuz à proximité de l’Iran. La flotte israélienne (navires de guerre et sous marins) assure une présence dans ces eaux là. Le ministre de la défense israélien, Ehud Barak, récemment en visite à Washington, a fait pression sur son homologue américain pour que la présence de la Flotte de guerre US dans le Golfe Persique soit renforcée alors même que c’est déjà une véritable Armada qui y est déployée. Le Détroit D’Hormuz est étroit et la navigation de nuit y est parfois périlleuse, et c’est par là également que passe 40% du ravitaillement en pétrole des pays occidentaux. Les Israéliens ont également lancé un ballon d’essai disant que l’Iran pourrait avoir recours à l’arme du pétrole ceci pour, en cas d’incident et de flambée du prix du pétrole, en faire porter le chapeau d’emblée aux Iraniens.
Le Golfe Persique est un endroit idéal pour une opération sous faux pavillon menée par l’armée israélienne provoquant une réaction immédiate de représailles de la part de l’Iran donnant ainsi le feu vert à Tel Aviv pour aller bombarder les installations nucléaires iraniennes.
L’Amiral Mullen est parfaitement conscient d’un tel danger et ses inquiétudes doivent être prises trés très au sérieux. Mullen lors d’une conférence de presse le 2 Juillet 2008 avait lui-même déclaré qu’un dialogue de militaire à militaire pourrait « ajouter une meilleure compréhension entre les US et l’Iran».
La visite actuelle du Vice Président américain, Joe Biden, en Israël ne peut que renforcer ses inquiétudes. Ce dernier, un sioniste notoire vient de réitérer l’allégeance « absolue » du gouvernement de Washington à Tel Aviv.
Les inquiétudes de l’Amiral Mullen doivent être prises très au sérieux. Mullen a énormément d’expérience, il a servi pendant la guerre du Vietnam, mais connaît bien aussi les actions US engagées par le passé pour freiner Israël et l’empêcher de lancer des attaques contre ses adversaires.
Dés son arrivée en Israël le 14 Février, Mullen a fait clairement comprendre aux Israéliens l’objet de sa visite. Il a publiquement insisté pour affirmer qu’une attaque contre l’Iran serait un « gros gros gros problème pour nous tous, et je m’inquiète énormément des conséquences inattendues ».
Lors d’une conférence de presse au Pentagone le 22 Février Mullen a réitéré les mêmes propos et lorsqu’interrogé sur le programme nucléaire iranien qu’Israël et son Lobby à Washington affirment être militaire il a fait ces remarques :
« Je suis très inquiet des conséquences inattendues d’une quelconque action militaire. Pour l’instant, les pressions diplomatiques et économiques de la communauté internationale sont et devraient être utilisées en premier. En fait, j’espère qu’elles le sont et continueront de l’être. Aucune frappe quelque soit son efficacité ne sera elle-même décisive ».
Répondant à une question sur l’efficacité d’une telle frappe sur les installations nucléaires iraniennes il a répondu que « de telles frappes retarderaient d’un à trois ans « ce programme, expliquant que c’est ce qu’il voulait dire quand il a affirmé qu’aucune frappe ne serait « décisive ».
La position de Mullen, chef de tous les états majors des forces armées US, constitue le principal obstacle à ceux qui poussent l’administration Obama à attaquer l’Iran. Mullen ne croit pas qu’une «guerre préventive » contre l’Iran vaille le coût exorbitant qui sera payé par les deux parties en conflit.
Mullen sait également qu’il n’existe pas de traité de défense mutuelle entre Israël et les Etats Unis et par conséquent que les US n’ont aucune obligation légale d’assurer la défense d’Israël si les Israéliens déclenchent une guerre contre l’Iran. En d’autres termes juridiquement parlant Israël «n’est pas l’allié des Etats Unis » et on peut comprendre dés lors pourquoi Israël cherche absolument à intégrer l’OTAN. Mentionner en permanence la « relation spéciale » existant entre les US et Israël n’a pas force de loi.
C’est d’ailleurs Israël qui a refusé de signer un tel traité que les US lui avaient proposé après la guerre des 6 jours en 1967, un traité de défense réciproque espérant ainsi rétablir et maintenir le calme dans la région. Mais un tel traité nécessite d’avoir des frontières internationalement reconnues ce qui n’est pas le cas d’Israël et Israël ne voulait et ne veut toujours pas se séparer des territoires palestiniens conquis en 1967. De plus tout traité de ce type nécessite que chaque partie informe l’autre s’il décide d’attaque un pays tiers et Israël a toujours lancé ses opérations militaires par surprise.
Les inquiétudes de Mullen concernant l’éventualité REELLE d’une attaque d’Israël contre l’Iran se sont également traduites par le fait que selon la presse israélienne Mullen est allé jusqu’à prévenir Israël de ne pas s’aviser de répéter le genre d’attaque en mer, telle celle du USS Liberty le 8 Juin 1967, que l’aviation israélienne avait bombardé, tuant 34 marins américains et en blessant 170 autres. Mullen a clairement dit aux Israéliens que le soutien militaire US ne serait pas automatique si Israël provoquait d’une façon ou d’une autre des hostilités ouvertes avec l’Iran.
Netanyahou juge Obama faible
C’est évident que Netanyahou a définitivement jugé Obama comme étant, malgré ses envolées rhétoriques, un faible.Ce dernier continue d’envoyer à Tel Aviv de hauts responsables politiques US pour qu’ils supplient leurs homologues israéliens de bien vouloir daigner ne pas commencer une guerre avec l’Iran et participe au jeu d’enfumage de Netanyahou quand il envoie son émissaire spécial pour le Moyen Orient tenter d’organiser une énième reprise de négociations entre le gouvernement Netanyahou et le gouvernement illégitime de collaborateurs d’Abbas à Ramallah.
Ce n’est pas le Vice Président Joe Biden, supporter inconditionnel d’Israël actuellement en visite à Tel Aviv qui va faire pression sur Netanyahou. Biden, lors d’une interview sur ABC le 4 Juillet 2009 avait dit clairement qu’Israël étant une « nation souveraine » qu’elle avait par conséquent « le droit » de lancer une attaque militaire contre l’Iran, ajoutant en plus que Washington ne ferait aucun effort pour dissuader le gouvernement israélien. Autrement dit, Biden a d’ores et déjà donné son feu vert à une telle attaque , et sa visite ces jours ci ne fait que renforcer l’idée que l’Administration Obama est trop faible pour s’opposer aux velléités guerrières de Netanyahou et que par conséquent ce dernier a vu juste et considère que tout lui est désormais permis.
Netanyahou, qui connaît bien ce qui se passe dans les coulisses de Washington et qui dirige qui - il y a vécu plusieurs années servant notamment comme ambassadeur d’Israël - s’amuse probablement de toutes ses bouffonneries obamaesques. Il a eu amplement le temps de cerner la personnalité d’Obama qu’il a rencontré pour la première fois en Mai 2009 et comprit qu’il pouvait lui faire des pieds de nez en témoigne la décision rendue publique aujourd’hui en présence de Biden d’octroyer des permis de construire pour 1600 logements pour les colons juifs israéliens à Jérusalem Est.
Netanyahou a aussi pu constater la grande « flexibilité » d’Obama en matière de politique étrangère mais aussi nationale. Elu comme président des anti guerre il s’est laissé convaincre qu’il fallait intensifier la guerre en Afghanistan, se montrer de plus en plus agressif avec la Chine, promettre une chose à la Russie et faire l’inverse en matière d’installation de missiles antimissiles en Europe de l’Est. Les exemples ne manquent pas de son manque d’envergure politique et de son attitude pitoyable en ce qui concerne la politique des US au Moyen Orient.
Netanyahou s’est installé comme premier pilote dans la cabine de pilotage des relations US Israël grâce à l’influence sans précédent du Lobby sioniste américain dominé par le Likoud, le parti de Netanyahou, que ce soit au Congrès ou à la Maison Blanche où les Israéliens bénéficient de passes droits d’entrée l’un de leur plus grand supporter, et agent d’influence, Rahm Emanuel, y dirigeant le personnel et les activités dans l’entourage du président Obama. Lors de la Guerre du Golfe I en 1991, Rahm Emanuel alors tout juste la trentaine s’était rendu en Israël et avait servi comme volontaire civil sur une des bases de l’armée israélienne au Nord. Son père, Benjamin Emanuel, né à Jérusalem a servi dans le groupe terroriste sioniste l’Irgoun dont ont également fait partie les parents de l’ex ministre des affaires étrangères Tsipi Livni. Toute cette racaille terroriste sioniste et leurs rejetons ont occupé et occupent maintenant des postes politiques importants qui à Tel Aviv qui à Washington.
Les sales plans de Netanyahou
Sûr de lui arrogant à l’extrême comme peuvent l’être les terroristes Sionistes, Netanyahou peut choisir la provocation obligeant un Obama minable à soutenir une attaque israélienne contre l’Iran ce que l’Amiral Mullen a qualifié de « conséquences inattendues » mais qu’on peut aussi qualifier de conséquences prévisibles, Netanyahou poussant Obama dans un piège : l’obliger à engager des forces militaires US dans une guerre contre l’Iran.
Netanyahou a probablement dans ses tiroirs, près à l’emploi, un plan d’un incident du type Golfe du Tonkin qui pourrait éclater dans le Détroit d’Hormuz à proximité de l’Iran. La flotte israélienne (navires de guerre et sous marins) assure une présence dans ces eaux là. Le ministre de la défense israélien, Ehud Barak, récemment en visite à Washington, a fait pression sur son homologue américain pour que la présence de la Flotte de guerre US dans le Golfe Persique soit renforcée alors même que c’est déjà une véritable Armada qui y est déployée. Le Détroit D’Hormuz est étroit et la navigation de nuit y est parfois périlleuse, et c’est par là également que passe 40% du ravitaillement en pétrole des pays occidentaux. Les Israéliens ont également lancé un ballon d’essai disant que l’Iran pourrait avoir recours à l’arme du pétrole ceci pour, en cas d’incident et de flambée du prix du pétrole, en faire porter le chapeau d’emblée aux Iraniens.
Le Golfe Persique est un endroit idéal pour une opération sous faux pavillon menée par l’armée israélienne provoquant une réaction immédiate de représailles de la part de l’Iran donnant ainsi le feu vert à Tel Aviv pour aller bombarder les installations nucléaires iraniennes.
L’Amiral Mullen est parfaitement conscient d’un tel danger et ses inquiétudes doivent être prises trés très au sérieux. Mullen lors d’une conférence de presse le 2 Juillet 2008 avait lui-même déclaré qu’un dialogue de militaire à militaire pourrait « ajouter une meilleure compréhension entre les US et l’Iran».