Ce
sont les Attila de la guerre cybernétique, les plus célèbres
hacktivistes du Net n’ont pas failli à leur réputation, revendiquant sur
Twitter une nouvelle victoire dans les attaques de déstabilisation
massive menées sans discontinuer contre Israël, depuis le 11 juillet.
Dans le cadre de leurs représailles #OpSavegaza
lancées contre l’offensive israélienne vengeresse "Frontière
protectrice" qui a tourné au carnage de Gaza, le site du Mossad a été
pilonné par une pluie de frappes électroniques simultanées qui a saturé
son serveur et l’a mis HS pendant plus de 24h.
Derrière son masque impénétrable, l'armée sans
frontières des Anonymous compte plein de bons et loyaux soldats prêts à
bombarder les sites gouvernementaux d'Israël pour les réduire à l’écran
noir, chaque heure d’inaccessibilité étant accueillie comme un triomphe
sur un Etat criminel à mettre d'urgence hors d’état de nuire.
Le 22 juillet, ces illustres inconnus retranchés
derrière leur écran annonçaient, non sans fierté, qu’ils avaient réussi
un joli coup de force en bloquant l’accès à près de 1000 sites d’institutions gouvernementales et d'entreprises israéliennes.
« Ils n’oublient pas et ne pardonnent pas », les
Anonymous n’acceptent pas non plus l’impunité d’exception qui donne un
blanc-seing à Netanyahou pour commettre l’innommable, et c’est dans une
vidéo d’avertissement, dont ils ont le secret, qu’ils ont prévenu que
leur offensive informatique allait redoubler d’intensité.