21:09 28/09/2010
NEW YORK (Nations unies), 28 septembre- RIA Novosti
Les délégations palestinienne et iranienne ont quitté mardi la salle de l'Assemblée générale de l'Onu en signe de protestation contre le discours du ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman.
Le chef de la diplomatie israélienne a accusé à la tribune l'Onu la partie palestinienne de torpiller le processus de paix et a pointé la nécessité de "régler la question de l'Iran" qui soutient "les mouvements terroristes Hamas, Hezbollah et Jihad islamique".
Suite à ces déclarations, les délégations palestinienne et iranienne ont quitté la salle de l'Assemblée générale. Ensuite, leur exemple a été suivi par les diplomates irakiens.
Le ministre israélien n'a toutefois pas précisé s'il préconisait de "résoudre la question iranienne" par le biais diplomatique ou militaire.
Ce n'est pas la première fois que les délégations quittent la salle lors de la présente session de l'Assemblée. La semaine dernière les délégations américaine et de l'UE ont protesté de la même manière contre l'intervention du président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, qui avait évoqué une version des attentats du 11 septembre selon laquelle "certains éléments au sein du gouvernement américain" auraient organisé les attaques pour "redresser l'économie mondiale déclinante et sauver le régime sioniste d'Israël".
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Le chef de la diplomatie israélienne a accusé à la tribune l'Onu la partie palestinienne de torpiller le processus de paix et a pointé la nécessité de "régler la question de l'Iran" qui soutient "les mouvements terroristes Hamas, Hezbollah et Jihad islamique".
Suite à ces déclarations, les délégations palestinienne et iranienne ont quitté la salle de l'Assemblée générale. Ensuite, leur exemple a été suivi par les diplomates irakiens.
Le ministre israélien n'a toutefois pas précisé s'il préconisait de "résoudre la question iranienne" par le biais diplomatique ou militaire.
Ce n'est pas la première fois que les délégations quittent la salle lors de la présente session de l'Assemblée. La semaine dernière les délégations américaine et de l'UE ont protesté de la même manière contre l'intervention du président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, qui avait évoqué une version des attentats du 11 septembre selon laquelle "certains éléments au sein du gouvernement américain" auraient organisé les attaques pour "redresser l'économie mondiale déclinante et sauver le régime sioniste d'Israël".
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