[ 29/06/2010 - 10:56 ] |
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Ramallah – CPI Le chercheur spécialiste aux affaires des captifs, l'ancien captif, Abdul-Nasser Farawana, a dit que le nombre des captifs palestiniens dans les prisons de l'occupation israélienne a atteint 6800 dont 300 enfants, 34 femmes, 213 captifs en détention administrative, 7 captifs de Gaza sous la loi du combattant illégal, 11 députés et plus de 1500 captifs qui souffrent des malades dangereuses et chroniques alors qu'ils ont besoin du soin urgent et aux actes chirurgicales urgentes. Il a ajouté que ces captifs sont emprisonnés dans 20 prisons et centres d'arrestation dont Nafha, Raymoun, Chata, Jilbou', Ashkelon, Hadarim, al-Damoun, Hacharon, Bir Saba, Ofer, Majdou et le Néguev où ils s'exposent aux sauvages moyens de la torture, les directions des prisons perpètrent contre eux des grandes violations, leurs situations sont en détérioration continuelle. Farawana a déclaré que la majorité des captifs appartiennent aux villes de la Cisjordanie occupée et forment 83%, les 10.6%, seulement, sont des habitants de la Bande de Gaza, alors que les autres appartiennent aux territoires palestiniens occupés en 1948 et à la ville occupée d'al-Qods en ajoutant des dizaines différentes identités arabes. Le chercheur palestinien a montré que 800 captifs sont condamné à la perpétuité une ou plusieurs fois alors que 590 autres ont été condamné à plus de 20 ans de prison. Le nombre des captifs administratifs est arrivé à 213 captifs sans aucune accusation ou jugement et 7 captifs de Gaza sont qualifiés des combattants illégaux selon la loi sioniste. Farawana a dévoilé que plus de 309 détenus sont emprisonnés depuis le pré-Oslo et la création de l'autorité nationale palestinienne au 4 mai 1994. Dans le même contexte, Farawana a appelé toutes les Associations et activités, les masses médias à montrer la questions des anciens captifs de façon spéciale et à expliquer leur tragédie, ainsi de lancer une campagne de solidarité avec tous les captifs palestiniens, pour affirmer l'attachement du peuple palestinien à la question légitime de ses captifs, alors que Chalit ne retourne pas vers sa famille avant la libération de tous les anciens captifs et ceux symboles de la résistance, de l'Intifada ainsi que les captifs condamnés à la perpétuité. |