[ 15/02/2011 - 10:51 ] |
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Ramallah - CPI La Haut-Commissaire aux droits de l'homme aux Nations Unies, Navi Pillay, a demandé le gouvernement de l’occupation israélienne à cesser toutes ses projets et ses colonies dans les territoires occupés, et de s'abstenir d'émettre des décisions judiciaires ou administratives qui servent la politique d'évacuation des territoires palestiniens, de la destruction de leurs maisons et d’expulsion de leurs habitants. Pillay a déclaré dans un communiqué publié à l'issue de sa visite dans les territoires palestiniens occupés, le lundi 14 / 2, "illégalité" des pratiques sionistes de confisquer la propriété privée des civils palestiniens dans les territoires occupés, y compris Jérusalem-Est, en soulignant que les Maqdissins souffrent de l'expansion progressive des opérations d'évacuation visant leurs domiciles, ce qui représente « un défi évident » pour les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies. En attirant l’attention au racisme pratiqué par les autorités occupantes israéliennes contre les Palestiniens, notamment les Maqdissins à Jérusalem-Est dont son annexion n’est reconnu par les Nations Unies, insistant que toute procédure contre eux est illégitime, appelant le gouvernement de l’entité sioniste à arrêter de tirer les identités des Palestiniens, de les traquer et forcer à quitter leurs domiciles au profit des colons extrémistes juifs. Pillay a souligné que la barrière sioniste de séparation raciste, indépendamment du fait que sa construction est «illégale», mais il fonctionne aussi à détruire les droits sociaux, économiques et culturels de plusieurs milliers de citoyens palestiniens, car il coupe les Palestiniens de leur environnement et sources de revenu, les écoles, les centres de santé et d'autres, tout en protégeant les colons qui habituellement agressent violemment avec hostilité les habitants indigènes (Palestiniens). En effet, elle a mis en garde du grand danger d'expulsion et de déplacement qui menace des milliers de familles palestiniennes en raison de la grave détérioration de la nature de leur vie, indiquant que l'absence de reddition de comptes sur plusieurs fronts est une autre violation massive des droits de l'homme. |