24-08-2010 | 0:15
L'Autorité palestinienne a réaffirmé hier le besoin d'arrêter la colonisation juive dans les territoires occupés pour la reprise des négociations directes avec Israël, soulignant que toute démarche contraire ferait échouer les pourparlers. Dans une déclaration à la presse, le principal négociateur de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Saëb Arekat, a affirmé que l'arrêt total de l'extension des colonies juives en Cisjordanie, y compris à El Qods-Est, est une condition clé du lancement des pourparlers.
"Si Israël la rejette, les négociations directes seront impossibles", ce qui entraînera le retrait de la partie palestinienne des discussions, a ajouté M. Arekat. Dans la perspective de la tenue de ces pourparlers, M. Arekat a également fait savoir que l'Autorité palestinienne avait appelé les Etats-Unis, en tant que pays hôte à inviter davantage de pays pour donner un caractère international à cette rencontre. La chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton avait appelé Palestiniens et Israéliens à reprendre le 2 septembre prochain les négociations directes.
Le Quartette international pour le Proche-Orient avait également invité, de son côté, Israéliens et Palestiniens à reprendre les négociations directes dans le but de parvenir "à un accord, négocié entre les parties qui mette fin à l'occupation qui a commencé en 1967". Cet accord doit également aboutir à la "constitution d'un Etat palestinien indépendant, démocratique, viable et cohabitant dans la paix avec Israël et ses autres voisins". Les Palestiniens exigent toujours un arrêt total de la colonisation juive en Cisjordanie et à El-Qods-Est. Le moratoire du gel partiel de la colonisation prendra fin le 26 septembre prochain.
Ils exigent aussi la prolongation du gel temporaire de la colonisation en Cisjordanie occupée comme condition préalable à la reprise des négociations directes.
"Si Israël la rejette, les négociations directes seront impossibles", ce qui entraînera le retrait de la partie palestinienne des discussions, a ajouté M. Arekat. Dans la perspective de la tenue de ces pourparlers, M. Arekat a également fait savoir que l'Autorité palestinienne avait appelé les Etats-Unis, en tant que pays hôte à inviter davantage de pays pour donner un caractère international à cette rencontre. La chef de la diplomatie américaine Hillary Clinton avait appelé Palestiniens et Israéliens à reprendre le 2 septembre prochain les négociations directes.
Le Quartette international pour le Proche-Orient avait également invité, de son côté, Israéliens et Palestiniens à reprendre les négociations directes dans le but de parvenir "à un accord, négocié entre les parties qui mette fin à l'occupation qui a commencé en 1967". Cet accord doit également aboutir à la "constitution d'un Etat palestinien indépendant, démocratique, viable et cohabitant dans la paix avec Israël et ses autres voisins". Les Palestiniens exigent toujours un arrêt total de la colonisation juive en Cisjordanie et à El-Qods-Est. Le moratoire du gel partiel de la colonisation prendra fin le 26 septembre prochain.
Ils exigent aussi la prolongation du gel temporaire de la colonisation en Cisjordanie occupée comme condition préalable à la reprise des négociations directes.
Israël ordonne la démolition de deux mosquées en Cisjordanie
Les autorités de l'occupation israélienne ont ordonné hier la démolition de deux mosquées construites l'an dernier en Cisjordanie, rapportent des médias.
La première mosquée est située près du village de Bourine, au nord de la Cisjordanie, tandis que la deuxième se trouve près d'El-Halazoun, à Ramallah, a-t-on précisé de mêmes sources. Un député arabe au Knesset (Parlement israélien), cité par les médias, a vivement condamné cette décision israélienne, la qualifiant d'un nouveau crime odieux commis par Israël contre les Lieux saints de l'islam et des musulmans durant le mois sacré de ramadhan.
"Israël détruit et démolit des maisons arabes et palestiniennes sans aucune conscience humaine", a dénoncé le député.
Les autorités de l'occupation israélienne ont ordonné hier la démolition de deux mosquées construites l'an dernier en Cisjordanie, rapportent des médias.
La première mosquée est située près du village de Bourine, au nord de la Cisjordanie, tandis que la deuxième se trouve près d'El-Halazoun, à Ramallah, a-t-on précisé de mêmes sources. Un député arabe au Knesset (Parlement israélien), cité par les médias, a vivement condamné cette décision israélienne, la qualifiant d'un nouveau crime odieux commis par Israël contre les Lieux saints de l'islam et des musulmans durant le mois sacré de ramadhan.
"Israël détruit et démolit des maisons arabes et palestiniennes sans aucune conscience humaine", a dénoncé le député.