Le Premier ministre israélien Benjamin Netenyahu a affirmé que la reconnaissance palestinienne de la “judaïté d’Israël” était l’une des conditions essentielles pour aboutir à un accord de paix, soulignant que cet accord est très difficile mais possible.
S’adressant à ses ministres lors de la réunion hebdomadaire, Netenyahu a indiqué qu’Israël était attaché à trois conditions pour parvenir à la paix: les considérations sécuritaires israéliennes, la reconnaissance palestinienne qu’Israël est un Etat pour les Juifs, et la fin du conflit à travers cet accord.
Par ailleurs, le premier ministre sioniste a rappelé que le 26 Août sera la fin du délai du gel des activités coloniales.
Selon des sources sécuritaires israéliennes, les considérations de sécurité constitueront le premier sujet de débats à l’ordre du jour des négociations directes attendues avec les Palestiniens.
La radio israélienne a rapporté de sources israéliennes que Tel Aviv exigera que la vallée du Jourdain et les sommets des montagnes avoisinants restent sous contrôle israélien, sous prétexte « d’assurer la sécurité de l’espace aérien israélien et d’empêcher le trafic des armes et l’infiltration des terroristes » vers les territoires du prochain Etat palestinien.
S’adressant à ses ministres lors de la réunion hebdomadaire, Netenyahu a indiqué qu’Israël était attaché à trois conditions pour parvenir à la paix: les considérations sécuritaires israéliennes, la reconnaissance palestinienne qu’Israël est un Etat pour les Juifs, et la fin du conflit à travers cet accord.
Par ailleurs, le premier ministre sioniste a rappelé que le 26 Août sera la fin du délai du gel des activités coloniales.
Selon des sources sécuritaires israéliennes, les considérations de sécurité constitueront le premier sujet de débats à l’ordre du jour des négociations directes attendues avec les Palestiniens.
La radio israélienne a rapporté de sources israéliennes que Tel Aviv exigera que la vallée du Jourdain et les sommets des montagnes avoisinants restent sous contrôle israélien, sous prétexte « d’assurer la sécurité de l’espace aérien israélien et d’empêcher le trafic des armes et l’infiltration des terroristes » vers les territoires du prochain Etat palestinien.
De plus, Israël exigera que ce nouvel Etat soit démilitarisé, possédant seulement des forces de police, et qu’il lui soit interdit de signer des accords sécuritaires avec une partie tierce sans l’approbation israélienne.