Les Etats-Unis n'ont pas pris de décision à ce stade sur la présentation d'une nouvelle approche pour faire redémarrer le processus de paix israélo-palestinien, a déclaré vendredi le conseiller à la sécurité nationale d'Obama, le général James Jones.
Il n'y a "pas de décision" sur une nouvelle approche, a-t-il dit à bord de l'avion présidentiel Air Force One qui ramenait Barack Obama de Prague, où il a signé un traité de désarmement nucléaire avec la Russie.
Il n'y a "pas de décision" sur une nouvelle approche, a-t-il dit à bord de l'avion présidentiel Air Force One qui ramenait Barack Obama de Prague, où il a signé un traité de désarmement nucléaire avec la Russie.
"Il y a des discussions en cours et nous n'avons pris aucune décision pour redémarrer avec un changement majeur de stratégie", a déclaré le général Jones.
"Ce que nous devons dire clairement, à mon avis, c'est que nous n'avons pas l'intention, à aucun moment, de prendre quiconque par surprise", a-t-il insisté. Il a ajouté que tout ce qui serait entrepris viserait à renforcer la sécurité d'Israël et à soutenir toute revendication "légitime" en matière de souveraineté de la part des Palestiniens.
La presse américaine a laissé entendre cette semaine que Barack Obama se préparait à dévoiler une nouvelle approche après le mécontentement provoqué par le gouvernement Netanyahu et sa politique de construction de logements à l’est Jérusalem AlQuds occupée.
Cette approche pourrait consister à prendre pour base les sujets sur lesquels Israéliens et Palestiniens étaient tombés d'accord lors du sommet de Camp David en 2000 sous l'égide du président américain Bill Clinton.
Le général Jones a dit qu'il comprenait les raisons pour lesquelles M. Netanyahu a renoncé à participer au sommet sur la sécurité nucléaire de lundi et mardi à Washington. Selon certaines informations, les Israéliens craindraient que des pays musulmans exigent qu'Israël ouvre ses sites nucléaires à des inspections internationales.
"Ce que nous devons dire clairement, à mon avis, c'est que nous n'avons pas l'intention, à aucun moment, de prendre quiconque par surprise", a-t-il insisté. Il a ajouté que tout ce qui serait entrepris viserait à renforcer la sécurité d'Israël et à soutenir toute revendication "légitime" en matière de souveraineté de la part des Palestiniens.
La presse américaine a laissé entendre cette semaine que Barack Obama se préparait à dévoiler une nouvelle approche après le mécontentement provoqué par le gouvernement Netanyahu et sa politique de construction de logements à l’est Jérusalem AlQuds occupée.
Cette approche pourrait consister à prendre pour base les sujets sur lesquels Israéliens et Palestiniens étaient tombés d'accord lors du sommet de Camp David en 2000 sous l'égide du président américain Bill Clinton.
Le général Jones a dit qu'il comprenait les raisons pour lesquelles M. Netanyahu a renoncé à participer au sommet sur la sécurité nucléaire de lundi et mardi à Washington. Selon certaines informations, les Israéliens craindraient que des pays musulmans exigent qu'Israël ouvre ses sites nucléaires à des inspections internationales.
"Nous aurions évidemment aimé avoir le Premier ministre", mais la délégation israélienne emmenée par le ministre des services de renseignements, Dan Meridor, sera néanmoins "solide", a-t-il prévenu. "Je pense que les Israéliens ne voulaient pas être le catalyseur d'un changement de thématique du sommet", a-t-il souligné.
Israël refuse de donner des détails sur son arsenal atomique mais, selon des experts militaires, il serait fort de plusieurs centaines de têtes nucléaires.
http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=132891&language=fr