17/03/2010
Une des principales banques suédoises a annoncé sa décision de retirer ses investissements de deux compagnies israéliennes en Cisjordanie.
La banque « Denska Bank » a ainsi supprimé ses investissements dans les sociétés "l'Afrique - Israël" et "Albit", estimant que l’investissement dans ses sociétés est en violation avec le droit international en raison de leurs activités dans les territoires palestiniens occupés.
La Banque a été listée comme société qui "n'est pas socialement responsable".
La radio israélienne a indiqué que la valeur des investissements de la banque dans ces deux sociétés israéliennes s’élève jusqu'à plusieurs dizaines de millions de dollars et qu’ils sont liés aux caisses de retraite suédoises.
Rappelons que la Norvège a l'an dernier annoncé le retrait de ses investissements de la société israélienne "Albit», en raison de son rôle dans la construction du mur de l'apartheid.
Cette décision avait été prise sur recommandation du Conseil des règles de conduites morales au ministère des Affaires étrangères norvégien , conseil qui s'emploie à garantir la compatibilité des investissements publics de la Norvège faits à l’extérieur, dans le cadre des caisses de retraite du gouvernement, et qui repose sur les profits pétroliers.
La banque « Denska Bank » a ainsi supprimé ses investissements dans les sociétés "l'Afrique - Israël" et "Albit", estimant que l’investissement dans ses sociétés est en violation avec le droit international en raison de leurs activités dans les territoires palestiniens occupés.
La Banque a été listée comme société qui "n'est pas socialement responsable".
La radio israélienne a indiqué que la valeur des investissements de la banque dans ces deux sociétés israéliennes s’élève jusqu'à plusieurs dizaines de millions de dollars et qu’ils sont liés aux caisses de retraite suédoises.
Rappelons que la Norvège a l'an dernier annoncé le retrait de ses investissements de la société israélienne "Albit», en raison de son rôle dans la construction du mur de l'apartheid.
Cette décision avait été prise sur recommandation du Conseil des règles de conduites morales au ministère des Affaires étrangères norvégien , conseil qui s'emploie à garantir la compatibilité des investissements publics de la Norvège faits à l’extérieur, dans le cadre des caisses de retraite du gouvernement, et qui repose sur les profits pétroliers.