[ 20/10/2009 - 16:28 ] |
Washington-CPI "Le scientifique américain de Nasa, STEWART NOZETTE, 52 ans, chargé au Pentagone et à la Maison Blanche a été arrêté, car il a envisageait de travailler en faveur d'Israël", a dévoilé hier le lundi le ministre américain de la justice. Le ministre a révélé lors d'un communiqué que cet américain de Nasa, avait été contacté début septembre par un policier du FBI sous couverture, se faisant passer pour un agent du renseignement israélien, en échange des informations de "top secret défense", notamment concernant les armes nucléaires. pour des finances et un passeport israélien. "S'il est reconnu coupable, il devait être interpellé devant un juge à Washington et risque condamné à perpétuité", a souligné le ministre américain. "En croyant être un agent du Mossad (les services secrets israéliens), lorsqu'il a été contacté le 3 septembre, il a accepté de lui fournir "des informations régulières", a également confirmé M.le ministre. Le ministre de la justice a démasqué que "pour la deuxième entrevue, cet employé du Nasa a expliqué qu'il pouvait néanmoins se souvenir de ceux qu'il avait consultés des anciens accès à des documents de" top secret ", en recevant par le biais de la poste restante, 2.000 puis 9.000 dollars et a rempli deux questionnaires sur des satellites américains. "Le scientifique de Nasa, STEWART NOZETTE, tombé dans le piégé de la FBI, aurait de lui-même proposé de fournir des information sur "l'armement nucléaire, les satellites militaires, des systèmes d'alerte avancés, des moyens de défense ou de représailles contre des attentats à grande échelle et des éléments stratégiques cruciaux ", a souligné le responsable de la sécurité nationale au ministère de la Justice, David Kris. Selon les affirmations américaines, STEWART NOZETTE a mené des études de recherche d'eau sur la lune, est Titulaire d'un doctorat en astronomie au MIT, prestigieuse université technologique du Massachusetts (nord-est), chargé à la Maison Blanche en 1989 et 1990, ensuite au ministère de l'Energie entre 1990 et 1999, où il a profité d'une autorisation spéciale, pour l'accès aux documents de "top secret", en particulier à propos des armes nucléaires |