Palestine - 21-10-2009 |
Abu Obeida, porte-parole des Brigades Ezzedeen Al Qassam, a dit lors d’une déclaration mardi matin, que discuter de l’intégration ou de la désintégration des factions de la résistance palestinienne n’avait pas lieu d’être.
« Le rêve de dissoudre les Brigades Al-Qassam, la branche armée du mouvement islamique de résistance Hamas, est illusoire ; peu importe comment quelques personnes essaient d’analyser l’accord égyptien à cet égard, chacun a sa propre interprétation et ce point doit donc être clarifié. »
Abu Obeida a ajouté : « Ce que nous pouvons assurer, c’est que la solution de dissoudre l’Autorité palestinienne est plus simple que celle de dissoudre les Brigades Al-Qassam ou les courageuses factions de la résistance, et s’il y avait une définition d’une arme légitime, c’est certainement l’arme de la résistance. Nous n’acceptons pas que la résistance soit nommée « milice », le peuple palestinien sait que l’arme légitime est celle qui protège la patrie et défend la dignité du peuple. »
Sur la position du document égyptien au sujet de la résistance, il dit : « La légalité de la résistance n’est pas sujette à négociation ou à discussion, et certainement pas pendant les pourparlers de réconciliation, mais puisque ces délibérations discutent de questions politiques importantes, nous devons souligner que tout document ou accord qui inclurait que le droit à résister est illégal ou qu’il doit être exclu est un document incomplet qui ne peut perdurer.»
Le porte-parole a continué : « La résistance est le choix du peuple palestinien sous occupation, c’est l’option de tout peuple occupé. Une équipe palestinienne affaiblit la position palestinienne au niveau extérieur ; cette équipe parle de façon mensongère au nom du peuple palestinien et ignore la résistance. »
Au sujet de l’impact de la résistance sur les efforts de réconciliation, Abu Obeida a dit : « La réconciliation est la demande de chaque palestinien, mais se réconcilier sur le papier et repartir appliquer un ordre du jour qui sert l’ennemi sioniste et les Américains et appeler ça « une réconciliation nationale » est inacceptable. Si le médiateur égyptien veut une véritable réconciliation, elle doit être compatible avec l’option du peuple palestinien. »
« Le rêve de dissoudre les Brigades Al-Qassam, la branche armée du mouvement islamique de résistance Hamas, est illusoire ; peu importe comment quelques personnes essaient d’analyser l’accord égyptien à cet égard, chacun a sa propre interprétation et ce point doit donc être clarifié. »
Abu Obeida a ajouté : « Ce que nous pouvons assurer, c’est que la solution de dissoudre l’Autorité palestinienne est plus simple que celle de dissoudre les Brigades Al-Qassam ou les courageuses factions de la résistance, et s’il y avait une définition d’une arme légitime, c’est certainement l’arme de la résistance. Nous n’acceptons pas que la résistance soit nommée « milice », le peuple palestinien sait que l’arme légitime est celle qui protège la patrie et défend la dignité du peuple. »
Sur la position du document égyptien au sujet de la résistance, il dit : « La légalité de la résistance n’est pas sujette à négociation ou à discussion, et certainement pas pendant les pourparlers de réconciliation, mais puisque ces délibérations discutent de questions politiques importantes, nous devons souligner que tout document ou accord qui inclurait que le droit à résister est illégal ou qu’il doit être exclu est un document incomplet qui ne peut perdurer.»
Le porte-parole a continué : « La résistance est le choix du peuple palestinien sous occupation, c’est l’option de tout peuple occupé. Une équipe palestinienne affaiblit la position palestinienne au niveau extérieur ; cette équipe parle de façon mensongère au nom du peuple palestinien et ignore la résistance. »
Au sujet de l’impact de la résistance sur les efforts de réconciliation, Abu Obeida a dit : « La réconciliation est la demande de chaque palestinien, mais se réconcilier sur le papier et repartir appliquer un ordre du jour qui sert l’ennemi sioniste et les Américains et appeler ça « une réconciliation nationale » est inacceptable. Si le médiateur égyptien veut une véritable réconciliation, elle doit être compatible avec l’option du peuple palestinien. »