[ 28/07/2011 - 14:41 ] |
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Al-Nassera – CPI Des sources médiatique hébreu ont dévoilé l'augmentation des divergences entre les dirigeants de la coalition gouvernementale sioniste concernant la position de l'entité sur la question des excuses auprès d'Ankara, et la résolution de la crise des relations entre l'entité sioniste et la Turquie, qui a commencé à s'aggraver depuis la fin de mai 2010. Le journal sioniste Haaretz a déclaré dans son édition de mercredi 27/7, que les divergences entre le ministre sioniste de la Défense, Ehud Barak, et le ministre des Affaires étrangères, Avigdor Liebermann, s'aggravent en raison de l'opposition de ce dernier à la prolongation des visas de travail pour 350 travailleurs turcs à Tel-Aviv. Barak, quant à lui, préfère éviter toute action qui pourrait intensifier la crise diplomatique entre son gouvernement et Ankara. Le journal a ajouté que les ministres du huitième Forum ministériel sioniste se sont divisés entre partisans et opposants au renouvellement des visas de travail. Le ministère de l'Industrie et celui du Commerce et des travaux ont exprimé leur soutien complet à la position de Liebermann qui souhaite expulser les travailleurs turcs de l'entité sioniste, en proposant de les remplacer par des ouvriers d'autres nationalités, après la dissolution de l'accord de coopération conclu avec la partie turque. De son côté, Barak a exprimé son rejet ferme de cette mesure, avertissant qu'elle envoie un signal négatif à la direction turque, ce qui contribuerait à l'aggravation de la crise entre les deux parties. Dans le même contexte, il est prévu que le conseil ministériel économique sioniste se tienne sur plusieurs jours pour statuer sur la question du renouvellement des visas de travail aux turcs qui ont commencé à travailler pendant la durée du mandat de l'ancien ministre sioniste, Ariel Sharon, selon une convention de sécurité entre le ministère turc de la Défense et son homologue sioniste. Il est à noter que ces divergences s'inscrivent dans l'opposition de Liebermann et du vice-premier ministre sioniste, Moshe Yaalon, à la question de la présentation d'excuses à la Turquie pour l'assaut criminel sioniste sur la "Flottille de la Liberté" lors de son voyage pour briser le sévère embargo sioniste imposé sur la Bande de Gaza, le 31 mai 2010. |