jeudi 23 juin 2011

Communiqué de presse : Agrexco prend l'eau ! !

Israël - 23 juin 2011
Par Coalition contre Agrexco
Les difficultés financières de l’entreprise coloniale sont maintenant du domaine public (cf divers articles en fin de communiqué ) : 14 millions d’€ de pertes, vague de licenciements prévues, désaffection de partenaires commerciaux annoncées… Le flibustier qui avait soudoyé l’administration politique de la région Languedoc-Roussillon et tenté d’acheter la paix sociale au prix de mensonges n’est plus économiquement ni financièrement crédible !
Communiqué de presse : Agrexco prend l'eau ! !
La Coalition contre Agrexco, qui œuvre sur le territoire européen pour bouter hors des ports et des aéroports cette entreprise coloniale, se réjouit que les affaires de cette firme agro-alimentaire dépérissent.
Modestement, mais avec fierté, elle rappelle que la campagne de boycott des produits Carmel-Agrexco lancée dans le cadre de la campagne Boycott Désinvestissement Sanctions France n’est pas sans lien avec cet affaiblissement de la structure financière de l’entreprise Israélienne qui spolie les intérêts des paysans et du peuple palestinien tout en mettant à mal les paysans européens.
- La Coalition contre Agrexco appelle à amplifier les actions coordonnées de boycott sur tout le territoire dans le cadre d’actions non violentes et cela conformément aux décisions du premier forum européen tenu en début de mois à Montpellier.
- Elle rappelle au Conseil régional du Languedoc-Roussillon que cette entreprise, par constat d’huissier du 25 janvier dernier a été mise en défaut sur la véracité des documents d’importation et que le soupçon de fraude (dissimulant le crime de guerre) systématiquement organisée est prouvé.
- Elle demande avec fermeté une nouvelle fois au Conseil Régional LR de revoir sa position, d’abandonner immédiatement son soutien à cette firme et de refuser dès aujourd’hui l’accès au port des bateaux d’Agrexco.
- Par ailleurs la Coalition continuera d’actionner l’outil juridique qui œuvrera alors tant à l’encontre de cette société coloniale que de ses partenaires.
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