Nabi Saleh - 24 mai 2011
Par Popular Struggle Coordination Committee
Les récents événements ont une fois encore montré la puissance de la résistance civile, et sa capacité à apporter des changements et à mettre fin à l'injustice. Du Printemps arabe aux dernières manifestations commémorant la Nakba, des gens ordinaires ont fait bouger les lignes. Abdallah Abu Rahmah est enfin sorti de sa prison israélienne, mais une nouvelle vague de répression est en cours en Cisjordanie, et de nouveaux leaders de la contestation ont été raflés tandis qu'Israël essaie une fois de plus de réprimer la résistance civile à l'occupation. Nous avons besoin de votre aide pour les soutenir.
Récemment, deux organisateurs de manifestations ont été mis derrière les barreaux. Naji et Bassem Tamimi, du village de Nabi Saleh, ont été incarcérés sur les mêmes motifs douteux qu'Abdallah Abu Ramah. Ce n'est pas cela, la justice. Nous devons nous faire entendre pour obtenir leur libération rapide.
Les accusations contre Naji et Bassem sont fondées sur des aveux extorqués à des adolescents arrêtés eux-mêmes par des soldats israéliens lors de raids nocturnes, tirés de leurs lits à la pointe des fusils et frappés. La principale "preuve" contre eux est le témoignage d'un jeune de 14 ans qui a été tabassé lors de son arrestation, à qui les autorités d'occupation ont refusé un conseil juridique ainsi que la présence de ses parents pendant son interrogatoire et au lieu que les enquêteurs l'informent de son droit à garder le silence, ils lui ont dit "tu ferais mieux de dire la vérité."
Merci d'envisager de faire un don pour la défense juridique de Bassem et Naji Tamimi et/ou utilisez les modèles de lettre ci-dessous pour envoyer un email à votre ministre des Affaires étrangères et demander que votre gouvernement agisse pour leur libération.
Les accusations contre Naji et Bassem sont fondées sur des aveux extorqués à des adolescents arrêtés eux-mêmes par des soldats israéliens lors de raids nocturnes, tirés de leurs lits à la pointe des fusils et frappés. La principale "preuve" contre eux est le témoignage d'un jeune de 14 ans qui a été tabassé lors de son arrestation, à qui les autorités d'occupation ont refusé un conseil juridique ainsi que la présence de ses parents pendant son interrogatoire et au lieu que les enquêteurs l'informent de son droit à garder le silence, ils lui ont dit "tu ferais mieux de dire la vérité."
Merci d'envisager de faire un don pour la défense juridique de Bassem et Naji Tamimi et/ou utilisez les modèles de lettre ci-dessous pour envoyer un email à votre ministre des Affaires étrangères et demander que votre gouvernement agisse pour leur libération.
Traduction : MR pour ISM