[ 02/12/2010 - 10:12 ] |
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Ramallah- CPI Dans un rapport publié par l’association de solidarité internationale a affirmé que les forces occupantes israéliennes ont continu leur politique agressive, de répression et de torture contre le peuple palestinien, notamment le mois de Novembre, en tuant 3 citoyens dans la bande de Gaza et arrêtant plus de 200 autres. « Les autorités occupantes ont poursuivi la démolition, les agressions, ainsi les attaques de leurs colons extrémistes qui dévastent et confisquent les terres des citoyens, protégeant leur assaut criminel en Cisjordanie, la poursuite du colonialisme, ainsi le blocus suffocant contre la bande de Gaza », a souligné le rapport. Le rapport a condamné la politique de l’occupation qui extermine le peuple palestinien en violation de la loi internationale et les normes juridiques, humaines et internationales, en assassinant trois palestiniens à Gaza, à travers l’aviation de guerre israélienne. Le rapport a cité les noms du martyrs assassinés qui sont : Mohamed Djamel Al Namnim, 26 ans, dont sa voiture a été bombardé près du siège des services de passeports dans la ville de Gaza, les deux frères Mohamed et Islam Mohamed Yacine ont été également tombés en martyr après que l’aviation sioniste a ciblé leur voiture. « Les forces occupantes ont arrêté en Novembre passé 30 enfants (mineurs) de diverses villes de la Cisjordanie, trois femmes ; la femme du citoyen Ali Serhan de la ville de Selwan à Al Qods occupée, la citoyenne « Chahira Hafidh Barkan » de la ville d’al-Khalil et « Mariam al-Hour » qui a été arrêté durant sa visite à son frère à la prison de Nafha », a précisé le rapport. « Les deux députés allié au Hamas, « Mahmoud Al Romhi » et Naief Rajoub », ont été enlevés de leurs maisons par l’occupation israélienne », a ainsi ajouté le rapport. L’association a montré dans son rapport que les autorités occupantes israéliennes ont augmenté leur escalade hostile contre les palestiniens dans les territoires palestiniens occupés, particulièrement en 1948, enlevant des dizaines d’ouvriers à l’intérieur de la ligne verte, sous prétexte du manque d’autorisation de travail. L’association a appelé la communauté internationale, les institutions, organisations, des droits de l’homme et celles qui s’occupent des affaires des détenus à la nécessité d’assumer leurs responsabilités et d’œuvrer pour obliger l’ennemi occupant à cesser ses violations très flagrantes, ainsi d’assumer leurs responsabilités juridiques, éthiques envers les Palestiniens opprimés et selon les conventions et chartes internationales, de les garantir l’accès au travail, libérer les malades, les enfants et les femmes, notamment ceux qui ont purgé plusieurs années de souffrances dans les geôles de l’ennemi occupant israélien. |