Par IMEMC
La municipalité de Jérusalem essaie d'obliger les propriétaires de magasins du quartier arabe de Jérusalem Est à changer la langue des pancartes de leurs magasins en hébreu, et a informé ces propriétaire qu'ils ne le font pas, leurs magasins n'auront pas d'autorisation et qu'ils devront les fermer.
Le quotidien israélien Ma'ariv a rapporté jeudi que la décision entre en vigueur dans tous les quartiers arabes, même dans ceux où n'habite aucun juif.
La nouvelle décision a entraîné des protestations des habitants et des propriétaires de magasins. Ma'ariv dit que Mazin Al-Qaq, chef du Comité des Marchands à Jérusalem, a qualifié la décision d'illégale, et a ajouté que de nombreux habitants arabes de Jérusalem ne parlent ni ne lisent l'hébreu.
"Que veut la municipalité ?", a dit Al-Qaq. "Essayent-t-ils d'obliger une personne de soixante ans à retourner à l'école pour apprendre l'hébreu ? Cette décision est tout simplement illégale et ils ne peuvent obliger personne à s'y soumettre."
L'avocat israélien Yifat Solel a adressé une lettre au maire de Jérusalem, Nir Barkat, lui demandant d'annuler la décision car elle est illégale et qu'elle serait annulée par n'importe quel tribunal.
La municipalité de Jérusalem essaie d'obliger les propriétaires de magasins du quartier arabe de Jérusalem Est à changer la langue des pancartes de leurs magasins en hébreu, et a informé ces propriétaire qu'ils ne le font pas, leurs magasins n'auront pas d'autorisation et qu'ils devront les fermer.
Le quotidien israélien Ma'ariv a rapporté jeudi que la décision entre en vigueur dans tous les quartiers arabes, même dans ceux où n'habite aucun juif.
La nouvelle décision a entraîné des protestations des habitants et des propriétaires de magasins. Ma'ariv dit que Mazin Al-Qaq, chef du Comité des Marchands à Jérusalem, a qualifié la décision d'illégale, et a ajouté que de nombreux habitants arabes de Jérusalem ne parlent ni ne lisent l'hébreu.
"Que veut la municipalité ?", a dit Al-Qaq. "Essayent-t-ils d'obliger une personne de soixante ans à retourner à l'école pour apprendre l'hébreu ? Cette décision est tout simplement illégale et ils ne peuvent obliger personne à s'y soumettre."
L'avocat israélien Yifat Solel a adressé une lettre au maire de Jérusalem, Nir Barkat, lui demandant d'annuler la décision car elle est illégale et qu'elle serait annulée par n'importe quel tribunal.
Traduction : MR pour ISM