12 Décembre 2010 01:11
IRIB - Le ministre israélien de la guerre, Ehud Barak, a, de nouveau, évoqué, vendredi, l'hypothèse d'une partition de Jérusalem Al- Qods, conformément à la proposition de l’ancien Président américain, Bill Clinton, en 2000.
"Jérusalem sera discuté à la fin (...) Jérusalem-Ouest et les (quartiers) juifs, pour nous, les quartiers arabes, peuplés de réfugiés, pour eux, et une solution négociée pour les lieux saints.", a-t-il avancé. Barak s'exprimait, à Washington, devant le Saban Forum, une réunion de spécialistes et de dirigeants régionaux à laquelle assistaient, aussi, entre autres, la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, et Salam Fayyad, le Premier ministre palestinien.
Selon lui, “la délimitation des frontières de la terre d’Israël doit garantir une majorité juive certaine pour plusieurs générations, et un Etat palestinien viable et démilitarisé”.
Evoquant la question de la colonisation, Barak a indiqué que les blocs de colonisation doivent rester sous la souveraineté israélienne, alors que les colonies isolées doivent être intégrées à notre territoire”.
“Dans le cadre du processus de paix entre Israël et les Palestiniens, il faut annoncer la fin du conflit et des revendications réciproques. Cet accord doit se baser sur des règlements sécuritaires renforcés.”, a-t-il dit. Et d’ajouter: “une fois de plus, nous sommes devant un tournant décisif, quant aux chances et défis. Les chances de dialogue politique permettent d'aboutir à un consensus avec nos voisins, alors que les défis proviennent du camp radical, le Hezbollah, le Hamas et le réseau du terrorisme international. Il y a du vide au Proche-Orient, et sans la paix, sans un processus de paix entre Israël et les Palestiniens, les deux parties resteront dans le cercle de la violence et de l’effusion de sang”.
"La meilleure solution est celle de deux Etats pour deux peuples. Le monde n’est pas prêt à tolérer, pour toujours, notre contrôle sur un autre peuple. L’établissement de deux Etats, pour deux peuples, dans la région, est la condition sine qua non, pour permettre à Israël de continuer à développer le rêve sioniste". Parlant avant lui, Clinton a exhorté les Israéliens et les Palestiniens à faire des compromis, sur les "sujets-clé” du processus dit de paix, y compris, à propos de Jérusalem, "la question la plus sensible de toutes". Barak avait développé un point de vue analogue, en septembre, dans un entretien avec le quotidien israélien "Haaretz". Il s'était attiré une réplique immédiate de l'entourage de Netanyahou, pour qui, Jérusalem Al Qods est la capitale "indivisible et éternelle d'Israël”. Lien
"Jérusalem sera discuté à la fin (...) Jérusalem-Ouest et les (quartiers) juifs, pour nous, les quartiers arabes, peuplés de réfugiés, pour eux, et une solution négociée pour les lieux saints.", a-t-il avancé. Barak s'exprimait, à Washington, devant le Saban Forum, une réunion de spécialistes et de dirigeants régionaux à laquelle assistaient, aussi, entre autres, la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, et Salam Fayyad, le Premier ministre palestinien.
Selon lui, “la délimitation des frontières de la terre d’Israël doit garantir une majorité juive certaine pour plusieurs générations, et un Etat palestinien viable et démilitarisé”.
Evoquant la question de la colonisation, Barak a indiqué que les blocs de colonisation doivent rester sous la souveraineté israélienne, alors que les colonies isolées doivent être intégrées à notre territoire”.
“Dans le cadre du processus de paix entre Israël et les Palestiniens, il faut annoncer la fin du conflit et des revendications réciproques. Cet accord doit se baser sur des règlements sécuritaires renforcés.”, a-t-il dit. Et d’ajouter: “une fois de plus, nous sommes devant un tournant décisif, quant aux chances et défis. Les chances de dialogue politique permettent d'aboutir à un consensus avec nos voisins, alors que les défis proviennent du camp radical, le Hezbollah, le Hamas et le réseau du terrorisme international. Il y a du vide au Proche-Orient, et sans la paix, sans un processus de paix entre Israël et les Palestiniens, les deux parties resteront dans le cercle de la violence et de l’effusion de sang”.
"La meilleure solution est celle de deux Etats pour deux peuples. Le monde n’est pas prêt à tolérer, pour toujours, notre contrôle sur un autre peuple. L’établissement de deux Etats, pour deux peuples, dans la région, est la condition sine qua non, pour permettre à Israël de continuer à développer le rêve sioniste". Parlant avant lui, Clinton a exhorté les Israéliens et les Palestiniens à faire des compromis, sur les "sujets-clé” du processus dit de paix, y compris, à propos de Jérusalem, "la question la plus sensible de toutes". Barak avait développé un point de vue analogue, en septembre, dans un entretien avec le quotidien israélien "Haaretz". Il s'était attiré une réplique immédiate de l'entourage de Netanyahou, pour qui, Jérusalem Al Qods est la capitale "indivisible et éternelle d'Israël”. Lien