Des soupçons règnent sur le processus des négociations directes entre l’Autorité palestinienne et l’entité sioniste.
Selon le quotidien égyptien “AlMisriyyoune”, (les Egyptiens) un canal secret est en train d’être mis au point pour entrer en action dans les semaines prochaines.
A l’instar de ce qui s’était passé avec les négociations d’Oslo, en 1993, au cours desquelles un processus secret a été installé en parallèle à celui en public, permettant des concessions palestiniennes en catmini.
Prévues dans une capitale européenne, des négociations secrètes devraient remplacer les négociations publiques, qui semblent trébucher depuis la reprise des colonisations en Cisjordanie occupée, dimanche dernier, et le refus du Premier ministre israélien benjamin Netanyahou un moratoire. Et ce malgré les mises en garde du chef de l’Autorité Mahmoud Abbas de se retirer, et en dépit aussi des sollicitations américaines et européennes.
A l’instar de ce qui s’était passé avec les négociations d’Oslo, en 1993, au cours desquelles un processus secret a été installé en parallèle à celui en public, permettant des concessions palestiniennes en catmini.
Prévues dans une capitale européenne, des négociations secrètes devraient remplacer les négociations publiques, qui semblent trébucher depuis la reprise des colonisations en Cisjordanie occupée, dimanche dernier, et le refus du Premier ministre israélien benjamin Netanyahou un moratoire. Et ce malgré les mises en garde du chef de l’Autorité Mahmoud Abbas de se retirer, et en dépit aussi des sollicitations américaines et européennes.
Pourtant et dans une tentative américaine de dissuader Netanyahou, le président américain Barak Obama a offert à ce dernier via son émissaire américain au Proche Orient Gorges Mitchell en visite dans la région, des garanties et des offres très généreuses. Vainement. Netanyahou les a refusées arguant qu’il contredit les principes de son gouvernement.
Elles comporteraient entre autre, selon le journal israélien Maariv, et en échange d’un moratoire du gel des colonisations pour une durée de 60 jours seulement, un engagement américain de fournir à Israël des équipements militaires perfectionnés, avant la signature d’un accord avec les Palestiniens.
Elles comporteraient entre autre, selon le journal israélien Maariv, et en échange d’un moratoire du gel des colonisations pour une durée de 60 jours seulement, un engagement américain de fournir à Israël des équipements militaires perfectionnés, avant la signature d’un accord avec les Palestiniens.
Le deuxième engagement américain séduisant consiste à entraver toute tentative arabe de soulever la question de la création d’un état palestinien au sein du Conseil de sécurité, tandis que le troisième est d’empêcher les Palestiniens de soulever la question des colonisations en dehors des négociations directes, et seulement dans le cadre du règlement final. La lettre comprend également des garanties américaines sécuritaires à long terme, dont la nature n’a pas été révélée par le journal israélien.
Ce dernier évoque également comme contre partie pour les Palestiniens, afin de les dissuader de ne pas se retirer des négociations un seul engagement américain : une reconnaissance publique des frontières palestiniennes de 1967, assortie d’un échange des territoires, comme cadre des négociations sur le règlement final.
Pour sa part, le journal égyptien s’attend à ce qu’Abbas expose la teneur de ses discussions avec les Américains et les Européens, ainsi que l’idée des négociations secrètes aux dirigeants saoudiens, égyptiens et jordaniens.
Ces derniers craignenet que celles-ci ne servent que les intérêts israéliens .
Ce dernier évoque également comme contre partie pour les Palestiniens, afin de les dissuader de ne pas se retirer des négociations un seul engagement américain : une reconnaissance publique des frontières palestiniennes de 1967, assortie d’un échange des territoires, comme cadre des négociations sur le règlement final.
Pour sa part, le journal égyptien s’attend à ce qu’Abbas expose la teneur de ses discussions avec les Américains et les Européens, ainsi que l’idée des négociations secrètes aux dirigeants saoudiens, égyptiens et jordaniens.
Ces derniers craignenet que celles-ci ne servent que les intérêts israéliens .