30/09/2010
La fin des négociations de paix entre israéliens et palestiniens pourrait bien avoir lieu en début de semaine prochaine, sans qu'aucune avancée n'ait été réalisée.
Dimanche prochain, une réunion entre représentants palestiniens doit avoir lieu pour apporter une réponse définitive à la poursuite des négociations avec Israël. Sont attendus, les représentants de l'OLP (Organisation pour la Libération de la Palestine), les membres du Comité Central du Fatah ainsi que les dirigeants des principaux partis politiques palestiniens.
Les dirigeants de l'Autorité palestinienne participeront également à une conférence avec les représentants de la Ligue Arabe, prévue lundi prochain, avant de prendre une décision définitive sur l'avenir des négociations. Le président de l'AP, Mahmoud Abbas doit également s'entretenir aujourd'hui jeudi, avant Catherine Ashton, chef de la diplomatie européenne et George Mitchell, l'envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient. Le but visé par Mme Ashton est de "soutenir les pourparlers". Dans un communiqué, elle a précisé qu'elle entendait "réitérer son appel aux deux parties à agir de façon responsable et à choisir la voie de la paix." George Mitchell a également déclaré que, malgré les nombreux obstacles, les États-Unis étaient "plus engagés que jamais" dans le processus de paix.
Certes, mais la colonisation ayant repris, n'ayant d'ailleurs jamais vraiment cessée, la poursuite des négociations semblent impossible pour les représentants de l'Autorité palestinienne. Saeb Erekat, négociateur en chef de la diplomatie palestinienne a affirmé mercredi "il ne peut y avoir de demi-mesure dans les solutions apportées à la colonisation". Il a donc demandé aux États-Unis ainsi qu'à l'Union Européenne de forcer Israël à arrêter toutes activités de construction en Cisjordanie et à Jérusalem-est. Le ministre des affaires étrangères égyptien, Ahmad Abu Al-Gheit, a également annoncé qu'il ne s'attendait pas à une reprise des négociations, "malgré les efforts de la communauté internationale" et ce à cause de l'opposition farouche des israéliens à geler la colonisation.
Dimanche prochain, une réunion entre représentants palestiniens doit avoir lieu pour apporter une réponse définitive à la poursuite des négociations avec Israël. Sont attendus, les représentants de l'OLP (Organisation pour la Libération de la Palestine), les membres du Comité Central du Fatah ainsi que les dirigeants des principaux partis politiques palestiniens.
Les dirigeants de l'Autorité palestinienne participeront également à une conférence avec les représentants de la Ligue Arabe, prévue lundi prochain, avant de prendre une décision définitive sur l'avenir des négociations. Le président de l'AP, Mahmoud Abbas doit également s'entretenir aujourd'hui jeudi, avant Catherine Ashton, chef de la diplomatie européenne et George Mitchell, l'envoyé spécial des États-Unis au Moyen-Orient. Le but visé par Mme Ashton est de "soutenir les pourparlers". Dans un communiqué, elle a précisé qu'elle entendait "réitérer son appel aux deux parties à agir de façon responsable et à choisir la voie de la paix." George Mitchell a également déclaré que, malgré les nombreux obstacles, les États-Unis étaient "plus engagés que jamais" dans le processus de paix.
Certes, mais la colonisation ayant repris, n'ayant d'ailleurs jamais vraiment cessée, la poursuite des négociations semblent impossible pour les représentants de l'Autorité palestinienne. Saeb Erekat, négociateur en chef de la diplomatie palestinienne a affirmé mercredi "il ne peut y avoir de demi-mesure dans les solutions apportées à la colonisation". Il a donc demandé aux États-Unis ainsi qu'à l'Union Européenne de forcer Israël à arrêter toutes activités de construction en Cisjordanie et à Jérusalem-est. Le ministre des affaires étrangères égyptien, Ahmad Abu Al-Gheit, a également annoncé qu'il ne s'attendait pas à une reprise des négociations, "malgré les efforts de la communauté internationale" et ce à cause de l'opposition farouche des israéliens à geler la colonisation.