Après l’allemand Deir Spiegel, le français le Figaro, le kowétien As-Syaça, c’est au quotidien italien Corriere de la Serra de se mêler à la valse des informations et spéculations véhiculées sur le Hezbollah, recueillies toujours de sources anonymes, et formulées au conditionnel.
Les objectifs étant à chaque fois différents…
« Les deux services de renseignements iraniens et turcs se seraient convenus d’œuvrer ensemble pour fournir des armements sophistiqués au Hezbollah » a prétendu le correspondant du journal pour les questions d’intelligence et de terrorisme, Goydo Olympio, connu pour ses positions pro sionistes et son aversion pour la résistance.
« Les missiles et les moyens de combats les plus sophistiqués pourraient frayer leur chemin à partir de l’Iran, en passant par la Turquie et la Syrie jusqu’au Liban » a aussi supposé ce journaliste qui a travaillé entre 1999 et 2003 comme correspondant de plusieurs journaux italiens en Israël.
Les objectifs étant à chaque fois différents…
« Les deux services de renseignements iraniens et turcs se seraient convenus d’œuvrer ensemble pour fournir des armements sophistiqués au Hezbollah » a prétendu le correspondant du journal pour les questions d’intelligence et de terrorisme, Goydo Olympio, connu pour ses positions pro sionistes et son aversion pour la résistance.
« Les missiles et les moyens de combats les plus sophistiqués pourraient frayer leur chemin à partir de l’Iran, en passant par la Turquie et la Syrie jusqu’au Liban » a aussi supposé ce journaliste qui a travaillé entre 1999 et 2003 comme correspondant de plusieurs journaux italiens en Israël.
Et d’ajouter, citant une certaine source anonyme que « l’acheminement de cet armement a déjà été discuté lors d’une rencontre qui a réuni le chef des services secrets des Gardiens de la révolution iraniens, Hussein Taeb, et le nouveau chef des renseignements turc Hakân Fidan, lequel est considéré comme influent et voulant entretenir des liens étroits avec les Iraniens ».
Ce correspondant italien postule aussi que les armements seront transportés via des camions et des voitures, et que Fidan aurait déjà ordonné à ses hommes de trouver une couverture convenable pour éloigner les unités militaires turques.
A la base de ses assertions, Téhéran voudrait créer un nouveau canal similaire à celui qui serait mis au point au Soudan pour acheminer des armes au Hamas dans la bande de Gaza. Il signale entre autre que « les capitales occidentales examinent avec préoccupation les relations irano-turques », sachant toujours, selon Olympio « que les services de renseignements turcs sont des meilleurs dans la région,…, tout autant que leurs homologues iraniens ».
A noter que l’article italien a joui d’une couverture médiatique israélienne importante. Entre autre de la part du Yediot Aharonot, dont le correspondant s’est entretenu avec son auteur. Ce dernier lui a affirmé que les Turcs ne sont pas encore au point de non retour pour renoncer à l’Occident en contrepartie d’un axe puissant avec l’Iran, , …, mais qu’ils veulent un prix convenable pour renoncer à leurs liens présumés avec l’Iran et le Hezbollah.
A noter qu’à l’origine c’est la désignation de Fidan à la tête des renseignements turcs qui a le plus préoccupé les Israéliens : « Israël partage des secrets avec la Turquie, et il est à craindre qu’elle ne les passe à Téhéran, vu que Fidane sympathise avec le régime des ayatollahs à Téhéran », avait indiqué lors d’un huis clos le ministre de la guerre Ehud Barak, selon le journal israélien.
Ce correspondant italien postule aussi que les armements seront transportés via des camions et des voitures, et que Fidan aurait déjà ordonné à ses hommes de trouver une couverture convenable pour éloigner les unités militaires turques.
A la base de ses assertions, Téhéran voudrait créer un nouveau canal similaire à celui qui serait mis au point au Soudan pour acheminer des armes au Hamas dans la bande de Gaza. Il signale entre autre que « les capitales occidentales examinent avec préoccupation les relations irano-turques », sachant toujours, selon Olympio « que les services de renseignements turcs sont des meilleurs dans la région,…, tout autant que leurs homologues iraniens ».
A noter que l’article italien a joui d’une couverture médiatique israélienne importante. Entre autre de la part du Yediot Aharonot, dont le correspondant s’est entretenu avec son auteur. Ce dernier lui a affirmé que les Turcs ne sont pas encore au point de non retour pour renoncer à l’Occident en contrepartie d’un axe puissant avec l’Iran, , …, mais qu’ils veulent un prix convenable pour renoncer à leurs liens présumés avec l’Iran et le Hezbollah.
A noter qu’à l’origine c’est la désignation de Fidan à la tête des renseignements turcs qui a le plus préoccupé les Israéliens : « Israël partage des secrets avec la Turquie, et il est à craindre qu’elle ne les passe à Téhéran, vu que Fidane sympathise avec le régime des ayatollahs à Téhéran », avait indiqué lors d’un huis clos le ministre de la guerre Ehud Barak, selon le journal israélien.
Selon le quotidien libanais AlAkhbar, le journaliste italien est soupçonné de véhiculer dans les médias italiens des informations venant de sources israéliennes, mais que les Israéliens ne voudraient pas qu’elles soient émises de leurs parts ou via leurs médias.
Il est donc fort probable qu’il en soit de même pour l’article ci-dessus.
Présentant un scénario fictif invraisemblable, sur un présumé acheminement d’armes au Hezbollah via la Turquie, les Israéliens semblent vouloir amener les Européens à réviser leur rejet d’intégrer ce pays musulman au sein de sa communauté.
Chose qui tient particulièrement à cœur pour les Turcs, et considérée être pour les Israéliens l’une des raisons de la détérioration de leurs liens avec eux.
Il est donc fort probable qu’il en soit de même pour l’article ci-dessus.
Présentant un scénario fictif invraisemblable, sur un présumé acheminement d’armes au Hezbollah via la Turquie, les Israéliens semblent vouloir amener les Européens à réviser leur rejet d’intégrer ce pays musulman au sein de sa communauté.
Chose qui tient particulièrement à cœur pour les Turcs, et considérée être pour les Israéliens l’une des raisons de la détérioration de leurs liens avec eux.