Par Ezzedeen AlQassam Brigades
Le quotidien sioniste Yediot Ahronot a confirmé hier vendredi que les autorités israéliennes avaient annulé la visite à Londres d’un officier de haut rang par crainte qu’il soit arrêté en raison de son rôle dans les crimes de guerre perpétrés contre des civils palestiniens. Le quotidien qu’il s’agit du lieutenant-colonel Udi Ben Moha, commandant de la brigade stationnée dans la région d’Hébron.
Il faut noter que plusieurs leaders israéliens ont annulé leurs visites dans plusieurs régions du monde par crainte d’arrestation pour les mêmes motifs.
Ses exactions contre les Palestiniens
Commandant de l’occupation à Hébron, le lieutenant-colonel Udi Ben Moha (photo ci-dessus), ou « Udi ben Muha » et ses sbires, le lieutenant-colonel Aviv Feigel et le commandant de la police Menashe Aveshalom Peled (ou « Moshe Aveshalom Peled » ou « Aveshalom Peled ») poursuivent leur carrière de crimes et d’attaques systématiques contre les civils palestiniens et leurs biens dans la ville occupée d’Hébron, sous les yeux de l’Autorité palestinienne et de ses voyous, les soulards du TIPH.
Le lt-colonel Udi Ben Moha et le colonel Peled, tous deux bien connus des extrémistes religieux, ont mis la bride sur le cou des colons juifs criminels à Hébron et continuent de transformer le cœur de la vieille ville d’Hébron en camp de concentration bouclé par des grilles métalliques, une politique introduite par Yehuda Fuchs, l’ancien commandant d’Hébron ; ils ont étendu le vol du secteur H2 d’Hébron qui est sous leur contrôle au secteur H1 sous contrôle de l’Autorité palestinienne (en 1997, le protocole d’Hébron – partie d’Oslo II – signé par le gouvernement israélien et l’Autorité palestinienne a divisé Hébron en deux secteurs : H2 sous contrôle militaire israélien et H1 supposé être sous contrôle palestinien « civil et sécuritaire »). Ils ont fermé et vandalisé les associations caritatives de l’orphelinat d’Hébron H1, puis les stations de la radio et de télévision).
Le mercredi 20 août 200, le lieutenant-colonel Udi Ben Moha, le lieutenant-colonel Aviv Feigel et le colonel Peled, commandant de la police d’Hébron, ont envoyé leurs soldats et policiers criminels, accompagnés de deux officiers civils du Ministère israélien des communications, et de véhicules de la police et de l’armée, qui ont attaqué et fermé trois stations de radio de la ville : Wan FM Radio, BBC Radio, et Freedom Radio Al-Huryyah, ils se sont emparés des équipements et ont terrorisé les travailleurs. Ils ont kidnappé deux directeurs : Mahmoud Kanabi, qui diffusait un programme à l’antenne, et Muhammad Kafesha, et les ont emmenés pour une destination inconnue. Ils sont allés ensuite saccager la station de télévision Al-Majed d'Hébron.
Undi Ben Moha, le commandant militaire d’Hébron, est un criminel de guerre responsable de centaines de meurtres, de la destruction de dizaines de maisons et autres biens publics et privés, et de milliers de dunums de terre agricole à Gaza.
Le secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes, Aidan White, avait exprimé sa colère suite à la fermeture illégale de ces stations de radio palestiniennes.
Ses exactions contre les Palestiniens
Commandant de l’occupation à Hébron, le lieutenant-colonel Udi Ben Moha (photo ci-dessus), ou « Udi ben Muha » et ses sbires, le lieutenant-colonel Aviv Feigel et le commandant de la police Menashe Aveshalom Peled (ou « Moshe Aveshalom Peled » ou « Aveshalom Peled ») poursuivent leur carrière de crimes et d’attaques systématiques contre les civils palestiniens et leurs biens dans la ville occupée d’Hébron, sous les yeux de l’Autorité palestinienne et de ses voyous, les soulards du TIPH.
Le lt-colonel Udi Ben Moha et le colonel Peled, tous deux bien connus des extrémistes religieux, ont mis la bride sur le cou des colons juifs criminels à Hébron et continuent de transformer le cœur de la vieille ville d’Hébron en camp de concentration bouclé par des grilles métalliques, une politique introduite par Yehuda Fuchs, l’ancien commandant d’Hébron ; ils ont étendu le vol du secteur H2 d’Hébron qui est sous leur contrôle au secteur H1 sous contrôle de l’Autorité palestinienne (en 1997, le protocole d’Hébron – partie d’Oslo II – signé par le gouvernement israélien et l’Autorité palestinienne a divisé Hébron en deux secteurs : H2 sous contrôle militaire israélien et H1 supposé être sous contrôle palestinien « civil et sécuritaire »). Ils ont fermé et vandalisé les associations caritatives de l’orphelinat d’Hébron H1, puis les stations de la radio et de télévision).
Le mercredi 20 août 200, le lieutenant-colonel Udi Ben Moha, le lieutenant-colonel Aviv Feigel et le colonel Peled, commandant de la police d’Hébron, ont envoyé leurs soldats et policiers criminels, accompagnés de deux officiers civils du Ministère israélien des communications, et de véhicules de la police et de l’armée, qui ont attaqué et fermé trois stations de radio de la ville : Wan FM Radio, BBC Radio, et Freedom Radio Al-Huryyah, ils se sont emparés des équipements et ont terrorisé les travailleurs. Ils ont kidnappé deux directeurs : Mahmoud Kanabi, qui diffusait un programme à l’antenne, et Muhammad Kafesha, et les ont emmenés pour une destination inconnue. Ils sont allés ensuite saccager la station de télévision Al-Majed d'Hébron.
Undi Ben Moha, le commandant militaire d’Hébron, est un criminel de guerre responsable de centaines de meurtres, de la destruction de dizaines de maisons et autres biens publics et privés, et de milliers de dunums de terre agricole à Gaza.
Le secrétaire général de la Fédération internationale des journalistes, Aidan White, avait exprimé sa colère suite à la fermeture illégale de ces stations de radio palestiniennes.