Par Khaled Amayreh
La semaine dernière, j’ai écrit un article sur Ed Koch, l’ancien maire de New-York et suprématiste sioniste notoire qui pense qu’Israël devrait être en mesure de procéder à un génocide en Palestine sans recevoir de critique du reste de l’humanité. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à un autre partisan de la suprématie sioniste non moins répugnant. C’est Elie Wiesel, qui incarne à bien des égards la dépravation et la laideur brutale de la mentalité sioniste.
Pour beaucoup d’Américains, Wiesel est un grand intellectuel, un lauréat d’un prix Nobel, un moraliste et un grand combattant pour la justice et la décence humaine. Toutefois, pour des millions d’autres êtres humains dans le monde entier, Wiesel est un personnage raciste fanatique et un menteur irrécupérable qui place toujours sa loyauté tribale juive-sioniste au-dessus des valeurs humaines universelles.
C’est l’homme qui a été cité disant à maintes occasions qu’il ne pouvait pas se résoudre à critiquer les crimes israéliens contre les Palestiniens et autres populations du Moyen Orient. Eh bien, s’il n’arrive pas à critiquer les crimes israéliens, il ne mérite en aucune façon les épithètes de moralisme, intellectualisme et droiture dont la propagande sioniste continue de le gratifier.
C’est l’homme qui a été cité disant à maintes occasions qu’il ne pouvait pas se résoudre à critiquer les crimes israéliens contre les Palestiniens et autres populations du Moyen Orient. Eh bien, s’il n’arrive pas à critiquer les crimes israéliens, il ne mérite en aucune façon les épithètes de moralisme, intellectualisme et droiture dont la propagande sioniste continue de le gratifier.
Photo Washington Post : mi-février, Michelle Obama félicite Elie Wiesel lors d'une cérémonie de remise de médailles à la Maison Blanche. Pour Wiesel le sioniste acharné, la médaille des Humanités Nationales (sic!)
Pendant des années, Wiesel a été un esclave volontaire de l’apartheid et de la criminalité israélienne. En fait, l’auteur de « Nuit » n’a pas seulement détourné les yeux lorsque l’armée israélienne néo-nazie a assassiné et mutilé des milliers de civils palestiniens et libanais, dont de nombreux enfants, et détruit les maisons, parfois sur leurs habitants, mais il s’est aussi acharné à défendre les crimes obscènes d’Israël.
Il invoque le mantra sacrosaint de l’holocauste pour défendre les crimes répugnants d’Israël comme si la perpétration d’un holocauste justifiait la perpétration d’un autre contre un peuple qui n’a rien à voir avec les événements de la Seconde Guerre Mondiale.
Mais les crimes pornographiques, comme les atrocités génocidaires de l’an dernier dans la Bande de Gaza, requièrent au moins des mensonges également obscènes pour les laver, ou au moins pour atténuer leur laideur brutale. Inutile de dire que cette tâche a été laissée à des gens comme Wiesel, ce qu’il a essayé de faire.
Dans une pleine page publiée dans le quotidien juif sioniste The Washington Post, Wiesel régurgite une autre dose de mensonges sur le calvaire palestinien. Il critique ce qu’il appelle « la pression politique » américaine sur Israël, disant que ce n’est pas une telle pression qui apportera une solution à la question de Jérusalem.
Il invoque le mantra sacrosaint de l’holocauste pour défendre les crimes répugnants d’Israël comme si la perpétration d’un holocauste justifiait la perpétration d’un autre contre un peuple qui n’a rien à voir avec les événements de la Seconde Guerre Mondiale.
Mais les crimes pornographiques, comme les atrocités génocidaires de l’an dernier dans la Bande de Gaza, requièrent au moins des mensonges également obscènes pour les laver, ou au moins pour atténuer leur laideur brutale. Inutile de dire que cette tâche a été laissée à des gens comme Wiesel, ce qu’il a essayé de faire.
Dans une pleine page publiée dans le quotidien juif sioniste The Washington Post, Wiesel régurgite une autre dose de mensonges sur le calvaire palestinien. Il critique ce qu’il appelle « la pression politique » américaine sur Israël, disant que ce n’est pas une telle pression qui apportera une solution à la question de Jérusalem.
Qu’est-ce qui pourrait alors apporter une solution à cette question ? Autoriser les chiens enragés du sionisme à expulser les Arabes, la population indigène de la ville, vers le désert arabe ? Ou peut-être accélérer et terminer le processus de nettoyage ethnique actuellement en cours à Jérusalem ? Ou peut-être la destruction des lieux saints islamiques et chrétiens de la ville, pour en faire une ville sans goy ?
« Pour moi, pour le Juif que je suis, Jérusalem est au-dessus de la politique. Elle est mentionnée plus de six cents fois dans les Ecritures, et pas une seule fois dans le Coran. »
Eh bien disons tout d’abord qu’un menteur n’a pas le droit de faire même allusion aux Ecritures qui enseignent que « tu ne mentiras point. »
Deuxièmement, il est faux de dire que Jérusalem n’est pas mentionné dans le Coran. En fait, il y a un chapitre coranique entier – et long – appelé « Suratul Israa » qui traite de la corruption prophétisée par les Enfants d’Israël.
Ci-dessous les premiers vers de la Sura, ou chapitre :
« (1) Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée AI-Haràm à la Mosquée Al-Aqsà dont Nous avons béni l'alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est Lui, vraiment, qui est l'Audient, le Clairvoyant.
(2) Et Nous avions donné à Moïse le Livre dont Nous avions fait un guide pour les Enfants d'Israël: «Ne prenez pas de protecteur en dehors de Moi».
(3) [ô vous], les descendants de ceux que Nous avons transportés dans l'arche avec Noé. Celui-ci était vraiment un serviteur fort reconnaissant.
(4) Nous avions décrété pour les Enfants d'Israël, (et annoncé) dans le Livre : «Par deux fois vous sèmerez la corruption sur terre et vous allez transgresser d'une façon excessive».
(5) Lorsque vint l'accomplissement de la première de ces deux [prédictions,] Nous envoyâmes contre vous certains de Nos serviteurs doués d'une force terrible, qui pénétrèrent à l'intérieur des demeures. Et la prédiction fut accomplie.
(6) Ensuite, Nous vous donnâmes la revanche sur eux; et Nous vous renforçâmes en biens et en enfants. Et Nous vous fîmes [un peuple] plus nombreux :
(7) «Si vous faites le bien, vous le faites à vous-mêmes; et si vous faites le mal, vous le faites à vous (aussi)». Puis, quand vint la dernière [prédiction,] ce fut pour qu'ils affligent vos visages et entrent dans la Mosquée comme ils y étaient entrés la première fois, et pour qu'ils détruisent complètement ce dont ils se sont emparés.
(8) Il se peut que votre Seigneur vous fasse miséricorde. Mais si vous récidivez, Nous récidiverons. Et Nous avons assigné l'Enfer comme camp de détention aux infidèles.
(9) Certes, ce Coran guide vers ce qu'il y a de plus droit, et il annonce aux croyants qui font de bonnes œuvres qu'ils auront une grande récompense ; »
En outre, le nombre de fois qu’un endroit est mentionné dans un écrit ne signifie pas nécessairement grand-chose en termes réels. Par exemple, la ville de La Mecque n’est mentionnée que quelques fois dans le Coran, ce qui ne diminue en rien son importance centrale pour la foi islamique.
Dans la page de publicité du Washington Post, Wiesel le menteur irrécupérable affirme que « les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans peuvent construire leurs maisons partout à Jérusalem et que c’est seulement sous la souveraineté israélienne que la liberté de culte pour toutes les religions a été garantie dans la ville. »
Wiesel pense-t-il qu’il s’adresse à une population totalement ignorante en Amérique, des gens qui n’ont aucune idée de la différence entre la vérité et le mensonge ? Les Américains deviennent-ils totalement ignorants dès qu’il s’agit d’Israël ? Sont-ils des consommateurs volontaires des mensonges et de la propagande sionistes ?
Je pose ces questions parce que l’affirmation de Wiesel est un mensonge scandaleux. Mentir est la fornication de la langue, dans laquelle Wiesel et les autres apologues sionistes fanatiques excellent, en particulier lorsqu’ils s’adressent à un public occidental. C’est pourquoi il ne ressent apparemment aucune honte à dépasser les bornes en méprisant les faits les plus avérés même sur les aspects les plus fondamentaux de la situation palestinienne.
A la question : « Y-a-t-il une solution ? », Wiesel répond : « Il doit y en avoir une, il y en aura une. » Cependant, expliquant sa perception déformée de cette « solution », qui revient en fait à une liquidation totale des droits palestiniens, le Wiesel à la mentalité nazie (parce qu’il ne prête aucune attention à la question de la justice lorsqu’il s’agit de non-Juifs), il exige, de façon plutôt trompeuse, qu’on donne à Israël suffisamment de temps pour qu’il finisse et parachève le vol de la terre et des biens arabes.
« Pourquoi s’attaquer prématurément au problème le plus complexe et le plus sensible ? Pourquoi ne pas prendre d’abord des mesures qui permettront aux communautés israéliennes et palestiniennes de trouver des façons de vivre ensemble dans une atmosphère de sécurité ? Pourquoi ne pas laisser le problème le plus difficile et le plus sensible, pour un temps ? »
Vous voyez le discours fourbe et morbide de cet homme qui se dit un « moraliste » ! Il aimerait voir la communauté internationale donner plus de temps au régime judéo-nazi d’Israël pour effectuer davantage d’épuration ethnique jusqu’à ce que l’entité criminelle parvienne à un stade où il ne restera plus rien à discuter, ce qui serait le signal de la liquidation de la cause palestinienne.
http://www.ism-france.org/news/article.php?id=13739&type=analyse&lesujet=Sionisme
« Pour moi, pour le Juif que je suis, Jérusalem est au-dessus de la politique. Elle est mentionnée plus de six cents fois dans les Ecritures, et pas une seule fois dans le Coran. »
Eh bien disons tout d’abord qu’un menteur n’a pas le droit de faire même allusion aux Ecritures qui enseignent que « tu ne mentiras point. »
Deuxièmement, il est faux de dire que Jérusalem n’est pas mentionné dans le Coran. En fait, il y a un chapitre coranique entier – et long – appelé « Suratul Israa » qui traite de la corruption prophétisée par les Enfants d’Israël.
Ci-dessous les premiers vers de la Sura, ou chapitre :
« (1) Gloire et Pureté à Celui qui de nuit, fit voyager Son serviteur [Muhammad], de la Mosquée AI-Haràm à la Mosquée Al-Aqsà dont Nous avons béni l'alentour, afin de lui faire voir certaines de Nos merveilles. C'est Lui, vraiment, qui est l'Audient, le Clairvoyant.
(2) Et Nous avions donné à Moïse le Livre dont Nous avions fait un guide pour les Enfants d'Israël: «Ne prenez pas de protecteur en dehors de Moi».
(3) [ô vous], les descendants de ceux que Nous avons transportés dans l'arche avec Noé. Celui-ci était vraiment un serviteur fort reconnaissant.
(4) Nous avions décrété pour les Enfants d'Israël, (et annoncé) dans le Livre : «Par deux fois vous sèmerez la corruption sur terre et vous allez transgresser d'une façon excessive».
(5) Lorsque vint l'accomplissement de la première de ces deux [prédictions,] Nous envoyâmes contre vous certains de Nos serviteurs doués d'une force terrible, qui pénétrèrent à l'intérieur des demeures. Et la prédiction fut accomplie.
(6) Ensuite, Nous vous donnâmes la revanche sur eux; et Nous vous renforçâmes en biens et en enfants. Et Nous vous fîmes [un peuple] plus nombreux :
(7) «Si vous faites le bien, vous le faites à vous-mêmes; et si vous faites le mal, vous le faites à vous (aussi)». Puis, quand vint la dernière [prédiction,] ce fut pour qu'ils affligent vos visages et entrent dans la Mosquée comme ils y étaient entrés la première fois, et pour qu'ils détruisent complètement ce dont ils se sont emparés.
(8) Il se peut que votre Seigneur vous fasse miséricorde. Mais si vous récidivez, Nous récidiverons. Et Nous avons assigné l'Enfer comme camp de détention aux infidèles.
(9) Certes, ce Coran guide vers ce qu'il y a de plus droit, et il annonce aux croyants qui font de bonnes œuvres qu'ils auront une grande récompense ; »
En outre, le nombre de fois qu’un endroit est mentionné dans un écrit ne signifie pas nécessairement grand-chose en termes réels. Par exemple, la ville de La Mecque n’est mentionnée que quelques fois dans le Coran, ce qui ne diminue en rien son importance centrale pour la foi islamique.
Dans la page de publicité du Washington Post, Wiesel le menteur irrécupérable affirme que « les Juifs, les Chrétiens et les Musulmans peuvent construire leurs maisons partout à Jérusalem et que c’est seulement sous la souveraineté israélienne que la liberté de culte pour toutes les religions a été garantie dans la ville. »
Wiesel pense-t-il qu’il s’adresse à une population totalement ignorante en Amérique, des gens qui n’ont aucune idée de la différence entre la vérité et le mensonge ? Les Américains deviennent-ils totalement ignorants dès qu’il s’agit d’Israël ? Sont-ils des consommateurs volontaires des mensonges et de la propagande sionistes ?
Je pose ces questions parce que l’affirmation de Wiesel est un mensonge scandaleux. Mentir est la fornication de la langue, dans laquelle Wiesel et les autres apologues sionistes fanatiques excellent, en particulier lorsqu’ils s’adressent à un public occidental. C’est pourquoi il ne ressent apparemment aucune honte à dépasser les bornes en méprisant les faits les plus avérés même sur les aspects les plus fondamentaux de la situation palestinienne.
A la question : « Y-a-t-il une solution ? », Wiesel répond : « Il doit y en avoir une, il y en aura une. » Cependant, expliquant sa perception déformée de cette « solution », qui revient en fait à une liquidation totale des droits palestiniens, le Wiesel à la mentalité nazie (parce qu’il ne prête aucune attention à la question de la justice lorsqu’il s’agit de non-Juifs), il exige, de façon plutôt trompeuse, qu’on donne à Israël suffisamment de temps pour qu’il finisse et parachève le vol de la terre et des biens arabes.
« Pourquoi s’attaquer prématurément au problème le plus complexe et le plus sensible ? Pourquoi ne pas prendre d’abord des mesures qui permettront aux communautés israéliennes et palestiniennes de trouver des façons de vivre ensemble dans une atmosphère de sécurité ? Pourquoi ne pas laisser le problème le plus difficile et le plus sensible, pour un temps ? »
Vous voyez le discours fourbe et morbide de cet homme qui se dit un « moraliste » ! Il aimerait voir la communauté internationale donner plus de temps au régime judéo-nazi d’Israël pour effectuer davantage d’épuration ethnique jusqu’à ce que l’entité criminelle parvienne à un stade où il ne restera plus rien à discuter, ce qui serait le signal de la liquidation de la cause palestinienne.