C’est le dernier cri lancé dans le monde des rumeurs et des contre rumeurs aux sources ambigues qui grouillent au Proche Orient.
Au départ, les menaces de frappes contre l’Iran évoquaient une attaque aérienne, impliquant des missiles air-sol lancés à partir d’appareils de chasse. Il fut question d'une banque de cibles élaborée par les Américains et les Israéliens.
Il fut ultérieurement question d’attaques de missiles mer-sol, à partir des navires de guerre israéliens ou américains qui traversaient l’entourage maritime de la République islamique, escortés d’une large couverture médiatique.
Plus tard, les bombes anti bunkers sont rentrées dans l’arène médiatique destinées à viser particulièrement des installations souterraines nucléaires.
Alors que ces dernier temps, l’on a constaté que c’est la bombe atomique qui a été particulièrement arborée, dans des articles de presse et des centres de recherches.
Or, tout récemment le scénario du recours à la e-bombe, connue également sous l’appellation de bombe EMP ou IEM (bombe à impulsion électromagnétique) est tout à coup évoqué.
Les produits médiatiques précisent que c’est l’entité sioniste qui l’envisage pour entraver le programme nucléaire iranien.
En principe, ce projectile classifié parmi les armes de destructions massives et qui n’a jamais été utilisé, ne tue personne, et ne détruit rien. Largué pour exploser dans l’air, il sature l’environnement de toutes longueurs d’ondes et neutralise tous les systèmes électroniques et éclectiques qui se trouvent sur son chemin : y compris les téléphones portables. Bien entendu, devrait être concerné par ce bombardement tout le système électronique qui revient aux installations nucléaires, notamment celles situés dans les bunkers souterrains, pour soi-disant paralyser tout éventuel recours à un armement nucléaire, selon les assertions israéliennes.
Sachant que le recours à l’e-bombe n’est pas sans inconvénient majeur : son champ d’action, pour être efficace est néanmoins beaucoup trop large. Si l’Iran est frappé, le champ électromagnétique qu’il propulsera gagnera toute la région : la Turquie, l’Irak, le Golfe, le Pakistan, le Caucase, l’Asie mineure et tout le Moyen Orient. Voire même l’entité sioniste. En passant par toutes les bases américaines disséminées autour de l’Iran. Les rendant également inopérantes.
A quoi bon évoquer ce scénario?
Question de faire parler sans cesse de l’Iran, de brandir sa soi-disant menace nucléaire, de semer la hantise de frappes militaires imminentes, de leur mettre en scène des scénarios apocalyptiques.
Le tout pour récolter par le harcèlement les fruits politiques escomptés. Dont, pour le moment, un durcissement des sanctions au sein du Conseil de sécurité.
Si ça ne marche pas, il faut s’attendre à une nouvelle mise en scène avec un autre armement médiatisé dans des films américains, propulsée au devant de la scène…
Au départ, les menaces de frappes contre l’Iran évoquaient une attaque aérienne, impliquant des missiles air-sol lancés à partir d’appareils de chasse. Il fut question d'une banque de cibles élaborée par les Américains et les Israéliens.
Il fut ultérieurement question d’attaques de missiles mer-sol, à partir des navires de guerre israéliens ou américains qui traversaient l’entourage maritime de la République islamique, escortés d’une large couverture médiatique.
Plus tard, les bombes anti bunkers sont rentrées dans l’arène médiatique destinées à viser particulièrement des installations souterraines nucléaires.
Alors que ces dernier temps, l’on a constaté que c’est la bombe atomique qui a été particulièrement arborée, dans des articles de presse et des centres de recherches.
Or, tout récemment le scénario du recours à la e-bombe, connue également sous l’appellation de bombe EMP ou IEM (bombe à impulsion électromagnétique) est tout à coup évoqué.
Les produits médiatiques précisent que c’est l’entité sioniste qui l’envisage pour entraver le programme nucléaire iranien.
En principe, ce projectile classifié parmi les armes de destructions massives et qui n’a jamais été utilisé, ne tue personne, et ne détruit rien. Largué pour exploser dans l’air, il sature l’environnement de toutes longueurs d’ondes et neutralise tous les systèmes électroniques et éclectiques qui se trouvent sur son chemin : y compris les téléphones portables. Bien entendu, devrait être concerné par ce bombardement tout le système électronique qui revient aux installations nucléaires, notamment celles situés dans les bunkers souterrains, pour soi-disant paralyser tout éventuel recours à un armement nucléaire, selon les assertions israéliennes.
Sachant que le recours à l’e-bombe n’est pas sans inconvénient majeur : son champ d’action, pour être efficace est néanmoins beaucoup trop large. Si l’Iran est frappé, le champ électromagnétique qu’il propulsera gagnera toute la région : la Turquie, l’Irak, le Golfe, le Pakistan, le Caucase, l’Asie mineure et tout le Moyen Orient. Voire même l’entité sioniste. En passant par toutes les bases américaines disséminées autour de l’Iran. Les rendant également inopérantes.
A quoi bon évoquer ce scénario?
Question de faire parler sans cesse de l’Iran, de brandir sa soi-disant menace nucléaire, de semer la hantise de frappes militaires imminentes, de leur mettre en scène des scénarios apocalyptiques.
Le tout pour récolter par le harcèlement les fruits politiques escomptés. Dont, pour le moment, un durcissement des sanctions au sein du Conseil de sécurité.
Si ça ne marche pas, il faut s’attendre à une nouvelle mise en scène avec un autre armement médiatisé dans des films américains, propulsée au devant de la scène…