Le président libanais Michel Sleimane a déclaré lundi que le Liban était prêt à se défendre en cas de guerre avec Israël.
Le rôle de la résistance intervient « après l'occupation ou lorsque l'armée libanaise a manqué à sa tâche ou s'est retirée sous la pression », a déclaré M. Sleimane au quotidien pan-arabe Asharq al-Awsat dans une interview publiée lundi.
« On sait que lorsqu'un pays quel qu'il soit est victime d' une agression extérieure, les efforts humains, nationaux, diplomatiques, militaires et économiques s'unissent et tout le monde participe à sa manière », a-t-il ajouté.
Soulignant que les possibilités d'une guerre avec Israël étaient « réelles », M. Sleimane a mis en garde l'État hébreu que le Liban n'était plus un pays faible, et qu'en cas de guerre « nous sommes prêts à défendre notre pays et tous nos citoyens résisteront à l'ennemi pour soutenir l'armée ».
Ces propos de M. Sleimane surviennent au lendemain d'une session du dialogue national visant à élaborer une stratégie de défense nationale proposant une solution pour le problème des armes du groupe armé chiite Hezbollah.
Le Hezbollah, qui a affronté Israël au cours d'un conflit dévastateur en 2006, est la seule faction libanaise à avoir conservé un armement considérable, sous le prétexte de résister à Israël. Ses membres ont fait voeu de garder les armes aussi longtemps qu'Israël constituerait une menace pour la région.
Le premier round de dialogue national a eu lieu en septembre 2008, conformément à l'accord de Doha signé le 21 mai par les dirigeants rivaux libanais dans cette ville du Qatar pour mettre fin à une impasse politique de 18 mois qui avait conduit le pays au bord du conflit armé.
L'accord de Doha a été conclu après une semaine d' affrontements acharnés à Beyrouth entre les partisans du gouvernement et ceux de l'opposition menée par le Hezbollah.
La dernière session du dialogue national a eu lieu le 1er juin juste avant les élections législatives.
Le rôle de la résistance intervient « après l'occupation ou lorsque l'armée libanaise a manqué à sa tâche ou s'est retirée sous la pression », a déclaré M. Sleimane au quotidien pan-arabe Asharq al-Awsat dans une interview publiée lundi.
« On sait que lorsqu'un pays quel qu'il soit est victime d' une agression extérieure, les efforts humains, nationaux, diplomatiques, militaires et économiques s'unissent et tout le monde participe à sa manière », a-t-il ajouté.
Soulignant que les possibilités d'une guerre avec Israël étaient « réelles », M. Sleimane a mis en garde l'État hébreu que le Liban n'était plus un pays faible, et qu'en cas de guerre « nous sommes prêts à défendre notre pays et tous nos citoyens résisteront à l'ennemi pour soutenir l'armée ».
Ces propos de M. Sleimane surviennent au lendemain d'une session du dialogue national visant à élaborer une stratégie de défense nationale proposant une solution pour le problème des armes du groupe armé chiite Hezbollah.
Le Hezbollah, qui a affronté Israël au cours d'un conflit dévastateur en 2006, est la seule faction libanaise à avoir conservé un armement considérable, sous le prétexte de résister à Israël. Ses membres ont fait voeu de garder les armes aussi longtemps qu'Israël constituerait une menace pour la région.
Le premier round de dialogue national a eu lieu en septembre 2008, conformément à l'accord de Doha signé le 21 mai par les dirigeants rivaux libanais dans cette ville du Qatar pour mettre fin à une impasse politique de 18 mois qui avait conduit le pays au bord du conflit armé.
L'accord de Doha a été conclu après une semaine d' affrontements acharnés à Beyrouth entre les partisans du gouvernement et ceux de l'opposition menée par le Hezbollah.
La dernière session du dialogue national a eu lieu le 1er juin juste avant les élections législatives.
Source: xinhua
http://french.people.com.cn/International/6912749.html