[ 08/03/2010 - 13:12 ] |
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Istanbul - CPI Le premier ministre turc, Rajev Tayeb Erdogan, a annoncé devant une délégation médiatique palestinienne que la Palestine est la question principale du Moyen-Orient dont le monde entier doit soutenir et sauver les droits légaux de son peuple dominé par l'occupation israélienne depuis plus de 60 ans. Erdogan a appelé, le dimanche 7/3, devant une délégation médiatique palestinienne, à la levée immédiate du blocus arbitraire sioniste et la reconstruction des infrastructures de la Bande de Gaza, endommagées totalement par les forces de l'occupation, en critiquant l'engagement officiel de la communauté internationale et la politique de deux poids, deux mesures, en attaquant d'une manière très ferme l'ONU qui n'a pas encore exécuté plus de 100 décisions en faveur des droits du peuple palestinien et n'a pas obligé l'occupation israélienne de les respecter. "Les lieux saints dans les territoires palestiniens occupés dont les mosquées ne seront jamais annexés au prétendu patrimoine archéologique juif", a insisté Erdogan en contestant contre la décision du gouvernement de l'occupation qui a annoncé l'annexion des deux mosquées d'al-Ibrahimi, à al-Khalil, et de Bilal Ibn Rabah, à Bethléem. En critiquant le silence ferme de la communauté internationale envers les grandes souffrances des habitants de Gaza assiégés depuis plus de 4 ans consécutifs et agressés sauvagement par la guerre sioniste, il y a plus d'un an, le haut diplomate turc s'est interrogé : "Où est l'humanité?" Tout en appelant le monde islamique à adopter des mesures efficaces et sérieuses pour l'ouverture des passages et la reconstruction de la Bande de Gaza, en portant la communauté internationale et l'ONU responsables de la crise humanitaire qui frappe violement les Gazaouis. Erdogan a exhorté les palestiniens de s'unir et de réaliser leur réconciliation pour le renforcement de leurs droits légitimes. |