La poursuite de la politique de colonisation israélienne dans les territoires palestiniens occupés et les tentatives de judaïsation de la Ville sainte d'El-Qods risquent d'embraser tout le Proche-Orient, a déploré le roi de Jordanie Abdallah II dans une interview parue, jeudi, dans les principaux quotidiens locaux.
"S'agissant tout particulièrement d'El-Qods, toutes les options politiques, juridiques et diplomatiques restent ouvertes pour faire face aux mesures israéliennes condamnables et pour empêcher Israël d'atteindre son objectif", a affirmé le souverain jordanien sans donner plus de détails sur la nature de ces options.
Il a officiellement reconnu l'existence "d'un coup de froid" dans les relations avec Israël à cause des actions visant la judaïsation d'El-Qods et le déracinement de ses populations. Car, a-t-il souligné, la Ville sainte "occupe une place spéciale chez les Palestiniens, les Jordaniens et l'ensemble des arabes et des musulmans".
"Israël connaît pertinemment bien notre position : El-Qods-Est doit être la capitale de l'Etat palestinien indépendant qui doit voir le jour au plus vite, parce que c'est l'unique voie pour régler le conflit israélo-palestinien et réaliser la paix", a insisté le roi Abdallah II.
Evoquant les efforts de paix en cours dans la région, le roi Abdallah II a considéré que ce processus "se trouve à la croisée des chemins", soit on va assister à "une évolution effective, tangible et rapide pour le règlement du conflit, sur la base de la solution de deux Etats et dans un cadre régional global", soit "on va s'enliser dans une nouvelle spirale de tension et de violence dont le tribut sera payé par la région et le monde".
"S'agissant tout particulièrement d'El-Qods, toutes les options politiques, juridiques et diplomatiques restent ouvertes pour faire face aux mesures israéliennes condamnables et pour empêcher Israël d'atteindre son objectif", a affirmé le souverain jordanien sans donner plus de détails sur la nature de ces options.
Il a officiellement reconnu l'existence "d'un coup de froid" dans les relations avec Israël à cause des actions visant la judaïsation d'El-Qods et le déracinement de ses populations. Car, a-t-il souligné, la Ville sainte "occupe une place spéciale chez les Palestiniens, les Jordaniens et l'ensemble des arabes et des musulmans".
"Israël connaît pertinemment bien notre position : El-Qods-Est doit être la capitale de l'Etat palestinien indépendant qui doit voir le jour au plus vite, parce que c'est l'unique voie pour régler le conflit israélo-palestinien et réaliser la paix", a insisté le roi Abdallah II.
Evoquant les efforts de paix en cours dans la région, le roi Abdallah II a considéré que ce processus "se trouve à la croisée des chemins", soit on va assister à "une évolution effective, tangible et rapide pour le règlement du conflit, sur la base de la solution de deux Etats et dans un cadre régional global", soit "on va s'enliser dans une nouvelle spirale de tension et de violence dont le tribut sera payé par la région et le monde".