Ramallah – CPI
Le deuxième vice-président du conseil
législatif palestinien, Hassan Khreisheh, a fait allusion à l'existence
d'un état de rébellion au sein des forces de sécurité de l'autorité
palestinienne en Cisjordanie occupée, qui ont commencé à ignorer les
directives du président Mahmoud Abbas.
Dans ses déclarations à l'Agence "Quds
Press", le samedi 19/11, Khreisheh a déclaré que certains côtés des
services de sécurité palestiniennes ne sont plus engagés à la décision
politique de libérer les détenus, soulignant à l'affaire de la citoyenne
Heba Mara'ban qui a été libérée des prisons de l'autorité par un ordre
direct du président de l'autorité, alors que les tribunaux militaires
continuent à la poursuivre, contrairement aux directives d'Abbas.
Il a considéré que les changements politiques qui règnent sur la région et l'absence de l'horizon politique du processus de négociations ont poussé le Hamas et le Fatah à se diriger sérieusement vers la réalisation de la réconciliation et pour le succès de la rencontre prévue entre Abbas et Mechaal.
Il a considéré que les changements politiques qui règnent sur la région et l'absence de l'horizon politique du processus de négociations ont poussé le Hamas et le Fatah à se diriger sérieusement vers la réalisation de la réconciliation et pour le succès de la rencontre prévue entre Abbas et Mechaal.
Khreisheh a souligné à la nécessité
d'imposer l'atmosphère de la réconciliation, de travailler sérieusement
pour la rencontre prévue à travers la libération des prisonniers
politiques des prisons de l'autorité.
Dans le même contexte, le député
palestinien a condamné les menaces sionistes et américaines de cesser le
transfert des ressources financières à la caisse de l'autorité, en
réponse à la réalisation de la réconciliation, en disant que les
Etats-Unis et l'occupation israëlienne utilisent la monnaie politique
pour l'extorsion.