[ 31/07/2011 - 16:10 ] |
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Gaza – CPI "La liste des médicaments qui ont été manqués dans la Bande de Gaza a été enlevée de nouveau à 180 variétés de médicaments et 149 de consommables médicaux", a confirmé Dr. Ashraf al-Koudra, directeur du département des relations générales et de l'information au ministère de la santé. Dans une déclaration de presse, le samedi 30/7, el-Koudra a mis en garde que ce manque approfondit la gravité de la crise et représente une menace réelle au travail sanitaire dans les hôpitaux et les centre de soins primaires, ce qui réduit, au minimum, le nombre de services médicaux . Il a fermement critiqué le mouvement tardif et trés lent des institutions et des associations juridiques et sanitaires pour mettre fin à cette souffrance de trouver des solutions radicales à la crise qui menace le travail de santé à Gaza au cours des 5 dernières années, et a également menacé la vie des patients dont des dizaines sont morts à cause de cette chute épineuse de la balance de médicaments. El-Koudra a appelé toutes les parties et organisations des droits de l'homme à intervenir immédiatement pour empêcher l'effondrement du système de santé à Gaza et à cesser d'adopter la politique de la ponctuation qui intensifie leurs souffrances et complique la crise vers des stades plus graves. Il a également noté que la crise ne se limite pas sur les médicaments, mais aussi les établissements de santé à Gaza souffrent d'un manque grave aux quantités du carburant essentielles pour le fonctionnement des générateurs, soulignant que le taux du déficit s'élevait à 75% et les quantités existantes ne sont que 25% dont plus de 10% ont été expirées. "Ces quantités ne sont pas suffisants que pour un seul ou deux jours seulement, en particulier avec la coupure continuelle de l'électricité, en particulier dans les sections de soin intensif et d'autres, précisant qu'il est possible de la couper totalement. Il a finalement assuré que tous les hôpitaux de la Bande de Gaza ont besoin plus de 2.100.000 à 2.200.000 de litres par an à la lumière de la coupure de l'électricité continuelle pendant 8 heures par jour. |