27/01/2011 | 22h40
L'agitation sociale au Moyen-Orient et dans le Maghreb doit inciter Israël à faire rapidement la paix, non "par peur" mais dans un intérêt bien compris, a plaidé jeudi devant le Forum économique mondial (Wef) de Davos l'ancien président américain Bill Clinton.
"J'ai vu ce qui se passe en Tunisie et, à plus petite échelle, dans les rues du Caire. Je l'interprête comme une aspiration (des populations) au Moyen Orient et en Afrique du Nord à être partie à un monde moderne qui fonctionne", a-t-il dit.
"J'ai vu ce qui se passe en Tunisie et, à plus petite échelle, dans les rues du Caire. Je l'interprête comme une aspiration (des populations) au Moyen Orient et en Afrique du Nord à être partie à un monde moderne qui fonctionne", a-t-il dit.
"Tout bien pesé", le gouvernement en Israël "devait conclure un accord maintenant" avec les Palestiniens, qui "ne soit pas seulement une normalisation des relations mais un partenariat sincère", a-t-il dit.
"Selon moi, toutes ces choses qui se passent actuellement devraient rendre la paix plus probable", a-t-il dit, en soulignant les "synergies" qui pourraient découler d'un paix avec des Palestiniens dotés d'un Etat indépendant.
"Est ce que quelqu'un peut imaginer que le Moyen-Orient, et les Palestiniens et Israéliens en particulier, iraient mieux si nous ne faisons pas cela ?", a-t-il demandé.
Un tel accord de paix devrait être conclu "en raison d'un avenir positif" que Palestiniens et Israéliens "seraient en mesure de bâtir ensemble et non par un réflexe de peur", a-t-il plaidé.
Palestiniens et Israéliens avaient signé les accords d'Oslo en 1993 sous l'égide de Bill Clinton. Depuis ces accords prometteurs, la paix au proche-Orient semble toujours éloignée, et les négociations sont actuellement dans l'impasse.
"Selon moi, toutes ces choses qui se passent actuellement devraient rendre la paix plus probable", a-t-il dit, en soulignant les "synergies" qui pourraient découler d'un paix avec des Palestiniens dotés d'un Etat indépendant.
"Est ce que quelqu'un peut imaginer que le Moyen-Orient, et les Palestiniens et Israéliens en particulier, iraient mieux si nous ne faisons pas cela ?", a-t-il demandé.
Un tel accord de paix devrait être conclu "en raison d'un avenir positif" que Palestiniens et Israéliens "seraient en mesure de bâtir ensemble et non par un réflexe de peur", a-t-il plaidé.
Palestiniens et Israéliens avaient signé les accords d'Oslo en 1993 sous l'égide de Bill Clinton. Depuis ces accords prometteurs, la paix au proche-Orient semble toujours éloignée, et les négociations sont actuellement dans l'impasse.