L’armée de l’ennemi israélien a exclu l’éventualité d’une guerre voire d’une confrontation militaire pour la nouvelle année hébraïque.
Selon le quotidien israélien Yediot Aharonot, "Israël pourrait se décider à attaquer l'Iran si un tournant nucléaire a lieu" !
Dans son article, le correspondant militaire Ron Ben-Yishai, précise toutefois que "l'entité israélienne restera au cours de l'année hébraïque sur le qui-vive pour ce qui est du programme nucléaire iranien, mais aussi concernant le développement croissant des missiles du Hezbollah et de Hamas, sans compter la campagne politique visant à délégitimer toute action émanant de l’entité sioniste pour réduire son champ d’action " !.
Le journaliste estime que « c’est la première fois qu’ un rapport militaire israélien évoque les intentions et les capacités des parties hostiles à Israël, sans parler de ce que compte plannifier l’adminstration israélienne », comme c'est le cas avec tous les rapports émis par les établissements israéliens .
Il est clair que « l'armée ennemie s’est fondée dans son rapport, sur une évaluation de l’intérêt des parties concernées à ne pas provoquer un conflit militaire ». Ainsi, l'armée israélienne estime que « ni le Hezbollah ni la République islamique d'Iran ont un intérêt dans le déclenchement d’une guerre ne serait-ce que pour préserver leur réserve en missiles en attente d’une future éventualité militaire contre l'Iran ».
Côté israélien, selon le rapport « Israël a tout intérêt dans une frappe militaire contre le Hezbollah, hier avant aujourd'hui, et pour diverses raisons, à la fois pour prévenir une nouvelle accumulation des capacités, ou pour se venger de son échec en 2006 ou pour restaurer sa force de dissuasion, ou pour affaiblir l'axe anti-israélien .. Mais d’un autre côté, Israël admet que le Hezbollaha atteint un niveau de capacités militaires très dangereux, et donc Israêl ne peut pas s'engager dans une guerre dans laquelle rien n’est garantie, hormis des conséquences désastreuses pour lui en termes de coûts et de prix élevés à payer ».
Quant à la possibilité d’une attaque israélienne contre l'Iran, dans le cas d'un « tournant nucléaire », une question se pose : d’abord de quel tournant peut- il s’agir sachant que la République islamique a enregistré ces derniers mois une série de « tournants nucléaires » sans que l'armée israélienne n’adopte une mesure concrète contre l’Iran ; en dépit de sa capacité à viser les installations nucléaires iraniennes.
D'autre part, il est hautement improbable pour l’entité sioniste d’attaquer l’Iran sans un feu vert américain, lui-même régi par des considérations et des contraintes, surtout que les intérêts des États-Unis sont de plus en plus entremêlées dans la région.
Il est clair que « l'armée ennemie s’est fondée dans son rapport, sur une évaluation de l’intérêt des parties concernées à ne pas provoquer un conflit militaire ». Ainsi, l'armée israélienne estime que « ni le Hezbollah ni la République islamique d'Iran ont un intérêt dans le déclenchement d’une guerre ne serait-ce que pour préserver leur réserve en missiles en attente d’une future éventualité militaire contre l'Iran ».
Côté israélien, selon le rapport « Israël a tout intérêt dans une frappe militaire contre le Hezbollah, hier avant aujourd'hui, et pour diverses raisons, à la fois pour prévenir une nouvelle accumulation des capacités, ou pour se venger de son échec en 2006 ou pour restaurer sa force de dissuasion, ou pour affaiblir l'axe anti-israélien .. Mais d’un autre côté, Israël admet que le Hezbollaha atteint un niveau de capacités militaires très dangereux, et donc Israêl ne peut pas s'engager dans une guerre dans laquelle rien n’est garantie, hormis des conséquences désastreuses pour lui en termes de coûts et de prix élevés à payer ».
Quant à la possibilité d’une attaque israélienne contre l'Iran, dans le cas d'un « tournant nucléaire », une question se pose : d’abord de quel tournant peut- il s’agir sachant que la République islamique a enregistré ces derniers mois une série de « tournants nucléaires » sans que l'armée israélienne n’adopte une mesure concrète contre l’Iran ; en dépit de sa capacité à viser les installations nucléaires iraniennes.
D'autre part, il est hautement improbable pour l’entité sioniste d’attaquer l’Iran sans un feu vert américain, lui-même régi par des considérations et des contraintes, surtout que les intérêts des États-Unis sont de plus en plus entremêlées dans la région.