[ 29/09/2010 - 10:58 ] |
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New York – CPI La mission d'enquête qui appartient au Conseil des droits de l'homme de l'ONU a considéré que la cour pénale internationale pourrait examiner le dossier de l'agression sanglante de la marine sioniste contre "la flottille de la Liberté" qui naviguait vers la Bande de Gaza, car elle a la compétente juridique de le faire. L'un des trois experts membres de la mission d'enquête, le britannique Desmond de Silva, a déclaré, lors d'une conférence de presse, le mardi 28/9, que le bateau "Mavi Marmara" à bord duquel eut lieu la majorité de faits agressifs, battait pavillon comorien, pays membre à la cour pénale internationale, et que ces données fournissent donc à la cour pénale une raison d'examiner cette affaire. Le rapport des experts internationaux a fourni des preuves qui renforcent la poursuite de l'occupation pour des crimes multiples, torture et maltraitance en causant délibérément une grande souffrance et de graves blessures. Ils ont considéré que 6 passagers au moins ont été tués dans des conditions considérées comme une exécution arbitraire sans jugement. De Silva, l'ancien procureur en chef du tribunal spécial pour la Sierra Leone en 2005, a déclaré que le rapport ne comporte pas des recommandations concrètes adressées à la cour pénale internationale ou à un autre pays, Car, le conseil des droits de l'homme ne les demande pas. Le Conseil des droits de l'homme de l'Onu avait voté le 2 juin 2010 la formation d'une mission internationale indépendante pour enquêter sur les dangereuses attaques lancées par les pirates de la marine sioniste contre la Flottille de la Liberté, causant le martyre de 9 pacifistes turcs et des dizaines de blessés. |