Information à prendre avec précaution : les États-Unis seraient en train de s’interroger sur la rentabilité de leur soutien inconditionnel pour l’entité sioniste. Il est vrai que cet avis a été présenté par le quotidien britannique de renommée "The Guardian" , par la voix de son correspondant à Washington Chris McGreal, lequel révèle que dans les coulisses de l’administration américaine, s'impose de plus en plus l’idée que le gouvernement israélien utilise d’une façon nuisible le soutien américain qui lui est procuré, en menant une politique qui menace la vie des soldats américains.
Mais ces derniers temps, force est de constater de grands médias occidentaux en particulier s'adonnent à propager des informations qui ne tardent pas à s'avérer être fausses ou démenties. Dans ce qui semble être une guerre psychologique bien orchestré.
De retour à l'article en question, lLe correspondant y perçoit le fait de soulever cette idée comme étant un fait rare qui se démarque du consensus qui a perduré durant des dizaines d’années, celui que l’étroite alliance américano-israélienne est un bienfait pour les deux parties, et doit être à l’écart des débats des politiciens qui ne savent pas quels risques ils encourent en la mettant en cause .
C’est dans cette perspective que McGreal perçoit les visites du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou qui selon lui voudrait garder à l’esprit des Américains qu’Israël est allié irremplaçable, pour faire face au « terrorisme islamique ». Tout en estimant toutefois que le fait qu’il persiste à poursuivre la construction des colonies à l’est de Jérusalem AlQuds occupée, creuse l’écart avec les Américains car c’est une preuve de plus que les Israéliens ne sont pas sérieux sur la question de la création d’un état palestinien.
Pour étayer son analyse, l’auteur de l’article s’est penché sur les dernières positions officielles américaines qui reflètent cet état de distanciation: la déclaration du président américain Barak Obama que selon lequel « la résolution du conflit arabo israélien est un intérêt vital pour les États-Unis ».
Est également rappelée l’affirmation du vice-président Jo Biden qui s’est plaint que « les politiques israéliennes mettent en danger les soldats américains en Irak et en Afghanistan ».
Ainsi que les témoignages des dirigeants militaires américains, dont le général David Petraeus qui a commandé les deux guerres, irakienne et afghane, et qui ont à plusieurs reprises laissé entendre que la poursuite par Israël de l’occupation des territoires palestiniens entrave une solution aux autres conflits.
L’article s’est également appuyé dans son analyse sur une évaluation d’un ex-responsable des renseignements américain, Anthony Cordesman, qui a évoqué avoir perçu un changement dans la pensée au sein de la Maison blanche, du Pentagone et des affaires étrangères, sur l’impact du soutien américain inconditionnel pour les politiques israéliennes. Indiquant que les États-Unis ne renonceront pas à Israël, en fonction d’un engagement moral pour garantir la préservation de « l’état juif », Cordsman a toutefois estimé que cet engagement ne devrait nullement justifier tous les actes du gouvernement américain. A la foi de David Axelrod, un des grands conseillers politiques du président américain, ce dernier considère la poursuite des colonies comme étant une menace des efforts de paix. Il lui aurait également confié que les intérêts supérieurs des États-Unis nécessitent d’aller de l’avant dans cette question difficile ».
Changement ou pas, il faut certes garder une certaine distance avec ce genre d’informations qui demeurent aléatoires, tant qu’elles ne sont pas étayées par des positions américaines publiques et concrètes, qui vont au-delà des condamnations verbales, pour dissuader les Israéliens de poursuivre leur politique d’occupation.
Dans le cas échéant, ces positions américaines précitées n’en demeurent pas moins de faux semblants, donnant de fausses impressions aux dirigeants et aux peuples de la région, afin de leur soutirer des positions dans d’autres dossiers, sans leur rien donner en contre partie…
Notons à cet égard que ces procédés machiavéliques perdurent depuis plus d’un siècle …
Mais ces derniers temps, force est de constater de grands médias occidentaux en particulier s'adonnent à propager des informations qui ne tardent pas à s'avérer être fausses ou démenties. Dans ce qui semble être une guerre psychologique bien orchestré.
De retour à l'article en question, lLe correspondant y perçoit le fait de soulever cette idée comme étant un fait rare qui se démarque du consensus qui a perduré durant des dizaines d’années, celui que l’étroite alliance américano-israélienne est un bienfait pour les deux parties, et doit être à l’écart des débats des politiciens qui ne savent pas quels risques ils encourent en la mettant en cause .
C’est dans cette perspective que McGreal perçoit les visites du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou qui selon lui voudrait garder à l’esprit des Américains qu’Israël est allié irremplaçable, pour faire face au « terrorisme islamique ». Tout en estimant toutefois que le fait qu’il persiste à poursuivre la construction des colonies à l’est de Jérusalem AlQuds occupée, creuse l’écart avec les Américains car c’est une preuve de plus que les Israéliens ne sont pas sérieux sur la question de la création d’un état palestinien.
Pour étayer son analyse, l’auteur de l’article s’est penché sur les dernières positions officielles américaines qui reflètent cet état de distanciation: la déclaration du président américain Barak Obama que selon lequel « la résolution du conflit arabo israélien est un intérêt vital pour les États-Unis ».
Est également rappelée l’affirmation du vice-président Jo Biden qui s’est plaint que « les politiques israéliennes mettent en danger les soldats américains en Irak et en Afghanistan ».
Ainsi que les témoignages des dirigeants militaires américains, dont le général David Petraeus qui a commandé les deux guerres, irakienne et afghane, et qui ont à plusieurs reprises laissé entendre que la poursuite par Israël de l’occupation des territoires palestiniens entrave une solution aux autres conflits.
L’article s’est également appuyé dans son analyse sur une évaluation d’un ex-responsable des renseignements américain, Anthony Cordesman, qui a évoqué avoir perçu un changement dans la pensée au sein de la Maison blanche, du Pentagone et des affaires étrangères, sur l’impact du soutien américain inconditionnel pour les politiques israéliennes. Indiquant que les États-Unis ne renonceront pas à Israël, en fonction d’un engagement moral pour garantir la préservation de « l’état juif », Cordsman a toutefois estimé que cet engagement ne devrait nullement justifier tous les actes du gouvernement américain. A la foi de David Axelrod, un des grands conseillers politiques du président américain, ce dernier considère la poursuite des colonies comme étant une menace des efforts de paix. Il lui aurait également confié que les intérêts supérieurs des États-Unis nécessitent d’aller de l’avant dans cette question difficile ».
Changement ou pas, il faut certes garder une certaine distance avec ce genre d’informations qui demeurent aléatoires, tant qu’elles ne sont pas étayées par des positions américaines publiques et concrètes, qui vont au-delà des condamnations verbales, pour dissuader les Israéliens de poursuivre leur politique d’occupation.
Dans le cas échéant, ces positions américaines précitées n’en demeurent pas moins de faux semblants, donnant de fausses impressions aux dirigeants et aux peuples de la région, afin de leur soutirer des positions dans d’autres dossiers, sans leur rien donner en contre partie…
Notons à cet égard que ces procédés machiavéliques perdurent depuis plus d’un siècle …