Le cheikh d'al-Azhar, Ahmad al-Tayeb, a affirmé que la réconciliation interpalestinienne était « une obligation religieuse et un devoir sacré », qualifiant ceux qui l'entraveraient de « pécheurs ». Le grand imam d'al-Azhar a appelé les Palestiniens « quelle que soit leur appartenance à s'élever au-dessus de leurs conflits (...), à comprendre la sensibilité de cette situation dangereuse et à se rendre compte qu'il n'est pas possible de faire face à l'agression et à l'intransigeance israéliennes par la division et les conflits ».
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