[ 26/06/2010 - 17:06 ] |
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Agences De fortes critiques et d’énormes tensions ont été provoquées au niveau international suite de l’assaut meurtrier exécuté par les pirates marins sionistes contre les humanitaires pacifistes de la flottille de la liberté en destination vers la bande de Gaza, même au congrès de la Confédération syndicale internationale (CSI), qui s’est réuni pour 5 jours (de 21 au 25 juin), à Vancouver (Canada). «Certains syndicats ont appelé le congrès à l’importance de prendre une position urgente contre l’entité sioniste », a révélé des sources et des médias. Les sources ont dévoilé que le principal syndicat sud-africain, la Cosatu, a proposé un amendement exigeant devant les quelque 1 400 délégués que la CSI doit s'engager en faveur du boycottage de l’occupation israélienne. Le président du syndicat sud africain, Bheki Ntshalistshali a qualifié le régime occupant sioniste d’un "Etat d'apartheid", en appelant la CSI de forcer l’occupation israélienne à appliquer les résolutions de l’ONU et à la nécessité de lever l’embargo sioniste imposé illégalement contre la bande de Gaza, il y a plus de 4 ans consécutifs, tout en exigeant "la démolition du mur" de séparation raciste. Pour sa part, le secrétaire général de la CSI, a reconnu que la question est vraiment "sensible", ajoutant que "Le sentiment qu'Israël ne répond pas aux attentes de la communauté internationale a été également renforcé par le drame de la flottille" qui a suscité la colère des hommes libres au monde entier, y compris les juristes et les politiciens. |