[ 16/06/2010 - 12:40 ] |
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Gaza – CPI Le gouvernement palestinien dirigé par Ismaïl Haniyeh a affirmé son refus à toute tentative pour poursuivre le blocus, contourner ou ignorer le mouvement international de solidarité avec les habitants de Gaza. Dans un communiqué publié tard, durant la soirée de mardi 15/6, le gouvernement a dit qu'il poursuit tous les projets et initiatives proposés autour du blocus sioniste sévère imposé injustement contre la Bande de Gaza dont les tentatives sérieuses pour mettre fin à cet embargo et d'autres qui visent le diriger et le renforcer. "Nous saluons toutes les initiatives visant à briser le sévère blocus sioniste imposé contre la Bande de Gaza, alors que nous refusons toutes autres tentatives qui insistent sur la poursuite du blocus ou veulent contourner les efforts et appels du mouvement international de solidarité pour mettre fin à cette tragédie", a ajouté le communiqué. Le gouvernement palestinien a renouvelé son bon accueil à toutes les délégations qui visitent la Bande de Gaza pour exprimer leur refus à la continuation de l'embargo contre Gaza et aux crimes de l'occupation israélienne. Il a souhaité que la visite du secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, à la bande de Gaza est le début d'autres pas arabes officieux pour finir définitivement le blocus, ainsi qu'un accès pour reprendre l'unité nationale. Le gouvernement de Haniyeh a renouvelé son refus total à la commission d'enquête sioniste sur le crime de la marine de l'occupation contre la flottille "Liberté", qui a fait des dizaines de morts turcs et blessés parmi les solidaires étrangers, tout en insistant sur la demande juste pour former une commission internationale sous la direction de l'Onu et selon les normes internationales qui va donner de bons résultats. D'autre part, il a nié toute demande à la ligue arabe pour intervenir et arrêter les élections locales en Cisjordanie occupée, en appelant les dirigeants du coup d'état, à Ramallah, à cesser la politique du mensonge, tout en insistant au même temps sur son refus à l'organisation de toute élection locale, législative ou présidentielle sans arriver à un consensus national. Le gouvernement a porté l'autorité du Fatah, à Ramallah, notamment Salam Fayyad, responsable de la crise d'électricité dans la Bande de Gaza à travers la diminution des quantités de carburants nécessaires pour le travail de la centrale électrique. Finalement, le gouvernement a annoncé son refus aux pratiques de piraterie médiatique contre la chaîne d'al-Aqsa Tv, en affirmant que la décision du conseil français de diffusion pour arrêter la diffusion sur le Satellite "Eutelsat" s'oppose avec les simples principes de la démocratie et de la liberté d'expression. |