Une députée canadienne, Libby Davies fait l’objet d’une campagne virulente pour avoir critiqué les agressions israéliennes et soutenu les palestiniens.
Selon le site palestinien en ligne Arabs 48, cette campagne est menée par les amis de l’entité sioniste au sein du parlement et du gouvernement canadien. Elle s’est intensifiée depuis que Davis a critiqué l’attaque israélienne meurtrière de la flottille de la liberté au cours de laquelle les soldats israéliens ont tué 9 militants pacifistes turcs.
En guise de soutien, « La Maison palestinienne » dans la ville de Toronto a publié jeudi dernier un communiqué de presse dans lequel elle a salué le courage de la députée. Les Palestiniens de Vancouver ont également émis un mémorandum lui rendant hommage.
Le mois de mars dernier, Davies a mené une bataille politique contre un projet de loi présenté par les conservateurs, interdisant toutes les activités médiatiques visant à dénoncer le régime d’apartheid israélien.
Davies qui dirige le bloc du parti nationale démocratique est parvenu à le faire avorter au motif qu’il porte atteinte aux droits des Canadiens à la libre expression.
Selon le site palestinien en ligne Arabs 48, cette campagne est menée par les amis de l’entité sioniste au sein du parlement et du gouvernement canadien. Elle s’est intensifiée depuis que Davis a critiqué l’attaque israélienne meurtrière de la flottille de la liberté au cours de laquelle les soldats israéliens ont tué 9 militants pacifistes turcs.
En guise de soutien, « La Maison palestinienne » dans la ville de Toronto a publié jeudi dernier un communiqué de presse dans lequel elle a salué le courage de la députée. Les Palestiniens de Vancouver ont également émis un mémorandum lui rendant hommage.
Le mois de mars dernier, Davies a mené une bataille politique contre un projet de loi présenté par les conservateurs, interdisant toutes les activités médiatiques visant à dénoncer le régime d’apartheid israélien.
Davies qui dirige le bloc du parti nationale démocratique est parvenu à le faire avorter au motif qu’il porte atteinte aux droits des Canadiens à la libre expression.