La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a affirmé mercredi que les Etats-Unis étaient "très contents" du soutien annoncé par les pays arabes en faveur de négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens.
Selon Clinton, Washington espère que les discussions puissent commencer prochainement. Elle a confirmé que l'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, y participerait.
George Mitchell arrivera sur place ce week-end, a précisé à Washington un responsable américain sous couvert de l'anonymat, tandis que l'Autorité palestinienne confirmait un rendez-vous lundi 8 mars avec le président Mahmoud Abbas.
Quant aux discussions indirectes elles-mêmes, "on s'en rapproche", a affirmé le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley sans préciser si celles-ci pourraient commencer dès ce week-end.
"Le plus tôt sera le mieux", a-t-il souligné, car "il est presque impossible de faire des progrès avant que les discussions ne commencent".
"Nous travaillons dur depuis des mois pour créer le genre de soutien politique dont les parties auront besoin pour prendre la décision de participer à des discussions", a-t-il ajouté.
Les ministres arabes des Affaires étrangères, à l'exception de la Syrie, se sont prononcés mercredi au Caire en faveur de négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens.
En appuyant la perspective de négociations indirectes après quinze mois d'impasse, les ministres arabes des Affaires étrangères se sont référés explicitement à la demande américaine.
Selon Clinton, Washington espère que les discussions puissent commencer prochainement. Elle a confirmé que l'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, y participerait.
George Mitchell arrivera sur place ce week-end, a précisé à Washington un responsable américain sous couvert de l'anonymat, tandis que l'Autorité palestinienne confirmait un rendez-vous lundi 8 mars avec le président Mahmoud Abbas.
Quant aux discussions indirectes elles-mêmes, "on s'en rapproche", a affirmé le porte-parole du département d'Etat Philip Crowley sans préciser si celles-ci pourraient commencer dès ce week-end.
"Le plus tôt sera le mieux", a-t-il souligné, car "il est presque impossible de faire des progrès avant que les discussions ne commencent".
"Nous travaillons dur depuis des mois pour créer le genre de soutien politique dont les parties auront besoin pour prendre la décision de participer à des discussions", a-t-il ajouté.
Les ministres arabes des Affaires étrangères, à l'exception de la Syrie, se sont prononcés mercredi au Caire en faveur de négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens.
En appuyant la perspective de négociations indirectes après quinze mois d'impasse, les ministres arabes des Affaires étrangères se sont référés explicitement à la demande américaine.
LES FACTIONS PALESTINIENNES MECONTENTES
Les factions de résistance palestiniennes ont dénoncé, dans des communiqués séparés, le soutien de la Ligue arabe à la tenue des négociations indirectes entre l’Autorité palestinienne et le régime sioniste. La ligue arabe s'est pliée devant les diktats américains ont affirmé ces factions, dont notamment le Hamas, et le FPLP commandement générale dirigé par Ahmad Jébril.
Le Hamas a demandé comment les pays arabes ont pu accepter une telle proposition et quelle sorte de paix espèrent-ils ? Cette décision sert à couvrir la colonisation et l’occupation des lieux saints islamiques par "Israël". Il a notamment cité l'obstination israélienne de faire de la ville sainte d'al-Quds la capitale éternelle d’"Israël", l'opposition au retour des réfugiés palestiniens.
"Ne courrez pas derrière l'illusion de la paix car au cours de ces dernières décennies les négociations avec le régime sionistes ont abouti au massacre du peuple palestinien et de la violation de ses droits", a ajouté le Hamas.
Les factions de résistance palestiniennes ont dénoncé, dans des communiqués séparés, le soutien de la Ligue arabe à la tenue des négociations indirectes entre l’Autorité palestinienne et le régime sioniste. La ligue arabe s'est pliée devant les diktats américains ont affirmé ces factions, dont notamment le Hamas, et le FPLP commandement générale dirigé par Ahmad Jébril.
Le Hamas a demandé comment les pays arabes ont pu accepter une telle proposition et quelle sorte de paix espèrent-ils ? Cette décision sert à couvrir la colonisation et l’occupation des lieux saints islamiques par "Israël". Il a notamment cité l'obstination israélienne de faire de la ville sainte d'al-Quds la capitale éternelle d’"Israël", l'opposition au retour des réfugiés palestiniens.
"Ne courrez pas derrière l'illusion de la paix car au cours de ces dernières décennies les négociations avec le régime sionistes ont abouti au massacre du peuple palestinien et de la violation de ses droits", a ajouté le Hamas.
Le Premier ministre Ismaïl Haniyeh a pour sa part demandé à la ligue arabe de réviser sa décision. Haniyeh a souligné que son gouvernement s’opposait à toute négociation publique ou secrète avec le régime sioniste.
De son coté, le FPLP-commandement général a qualifié d’inutile la reprise des négociations entre l’Autorité autonome et le régime sioniste avant d’ajouter : les pays arabes qui ont accepté cette proposition américaine sont des complices de l’ennemi sioniste.
Le FPLP ajoute que si les dirigeants arabes sont sérieux dans la libération de la Palestine, ils devront soutenir les combattants de la Résistance.
De son coté, le FPLP-commandement général a qualifié d’inutile la reprise des négociations entre l’Autorité autonome et le régime sioniste avant d’ajouter : les pays arabes qui ont accepté cette proposition américaine sont des complices de l’ennemi sioniste.
Le FPLP ajoute que si les dirigeants arabes sont sérieux dans la libération de la Palestine, ils devront soutenir les combattants de la Résistance.