Alors que les États-Unis, l'entité sioniste et leur alliés s’attellent de nouveau pour arracher de nouvelles sanctions contre l’Iran au sein du Conseil de sécurité, des positions fusent de toutes parts pour soutenir le droit de l’Iran au nucléaire civil. Notamment des pays non alignés, du Brésil et de la Turquie.
Selon l’Organisation des pays non alignés qui s’était réunie mercredi, l’Iran a le droit sans aucune distinction de développer un programme nucléaire pacifique. Refusant les pressions exercées contre l’Agence internationale de l’énergie atomique ( AIEA) au motif qu’elles décrédibilisent cette organisation onusienne, les non alignés ont également souligné la nécessité de démanteler tous les armes nucléaires au Moyen Orient.
L’entité sioniste est la seule visée par une telle sollicitation vu qu’elle est la seule à détenir un arsenal militaire atomique estimé à quelques 200 ogives.
Quant au Brésil, lui-même membre non permanent du Conseil de sécurité, il vient d’afficher mercredi une nouvelle fin de non recevoir à la requête de la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton qui s’était rendu au Brésil en personne, spécialement pour lui changer d’avis sur le durcissement des sanctions : « il n’est pas prudent de mettre l’Iran le dos au mur », lui a rétorqué le président brésilien Luiz Ignacio Lula da Silva. " Il est prudent de faire en sorte que l'Iran continue à négocier", lui a-t-il ajouté.
Selon le dirigeant brésilien, "la position du Brésil sur le Moyen-Orient et l'Iran est claire. Et le Brésil comprend qu'il est possible de prendre un autre chemin".
Il a ajouté qu'il voulait pour l'Iran "la même chose que pour le Brésil, c'est-à-dire l'utilisation du développement de la technologie nucléaire à des fins pacifiques. Si l'Iran est d'accord avec ça, il aura le soutien du Brésil".
"Au cas où l'Iran voudrait aller plus loin, alors c'est aller au-delà de ce que permet notre Constitution (qui interdit l'usage militaire de la technologie nucléaire), et dans ce cas, nous ne pourrons pas l'approuver", a poursuivi Lula.
Quant à la position turque, elle a été exprimée par le chef de la diplomatie Ahmad Davutoglu lequel a réitéré la position de son pays en faveur d’un règlement pacifique du programme nucléaire iranien. Et ce en présence des ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe réunis mercredi dans son siège au Caire.
Selon le journal turc Zeman, Davutuglu a déclaré que l’imposition de nouvelles sanctions contre l’Iran aurait des conséquences tragiques pour le Moyen-Orient. Soulignant une fois de plus que la Turquie s’opposait à l’arme nucléaire partout dans le monde et qu'elle demandait un règlement négocié à l'affaire nucléaire de l’Iran.
Dans une précédente tentative le mois de janvier dernier en vue de durcir les sanctions, les Occidentaux ont essuyé un échec au sein du Conseil de sécurité. la Chine ayant affiché un refus catégorique.
Selon l’Organisation des pays non alignés qui s’était réunie mercredi, l’Iran a le droit sans aucune distinction de développer un programme nucléaire pacifique. Refusant les pressions exercées contre l’Agence internationale de l’énergie atomique ( AIEA) au motif qu’elles décrédibilisent cette organisation onusienne, les non alignés ont également souligné la nécessité de démanteler tous les armes nucléaires au Moyen Orient.
L’entité sioniste est la seule visée par une telle sollicitation vu qu’elle est la seule à détenir un arsenal militaire atomique estimé à quelques 200 ogives.
Quant au Brésil, lui-même membre non permanent du Conseil de sécurité, il vient d’afficher mercredi une nouvelle fin de non recevoir à la requête de la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton qui s’était rendu au Brésil en personne, spécialement pour lui changer d’avis sur le durcissement des sanctions : « il n’est pas prudent de mettre l’Iran le dos au mur », lui a rétorqué le président brésilien Luiz Ignacio Lula da Silva. " Il est prudent de faire en sorte que l'Iran continue à négocier", lui a-t-il ajouté.
Selon le dirigeant brésilien, "la position du Brésil sur le Moyen-Orient et l'Iran est claire. Et le Brésil comprend qu'il est possible de prendre un autre chemin".
Il a ajouté qu'il voulait pour l'Iran "la même chose que pour le Brésil, c'est-à-dire l'utilisation du développement de la technologie nucléaire à des fins pacifiques. Si l'Iran est d'accord avec ça, il aura le soutien du Brésil".
"Au cas où l'Iran voudrait aller plus loin, alors c'est aller au-delà de ce que permet notre Constitution (qui interdit l'usage militaire de la technologie nucléaire), et dans ce cas, nous ne pourrons pas l'approuver", a poursuivi Lula.
Quant à la position turque, elle a été exprimée par le chef de la diplomatie Ahmad Davutoglu lequel a réitéré la position de son pays en faveur d’un règlement pacifique du programme nucléaire iranien. Et ce en présence des ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe réunis mercredi dans son siège au Caire.
Selon le journal turc Zeman, Davutuglu a déclaré que l’imposition de nouvelles sanctions contre l’Iran aurait des conséquences tragiques pour le Moyen-Orient. Soulignant une fois de plus que la Turquie s’opposait à l’arme nucléaire partout dans le monde et qu'elle demandait un règlement négocié à l'affaire nucléaire de l’Iran.
Dans une précédente tentative le mois de janvier dernier en vue de durcir les sanctions, les Occidentaux ont essuyé un échec au sein du Conseil de sécurité. la Chine ayant affiché un refus catégorique.