Le ministre de la Guerre Ehoud Barak a déclaré que l’entité sioniste ne « cherchait pas la confrontation », a rapporté le Jerusalmen Post.
Barak, qui s’adressait à des lycéens israéliens a souligné : « Israël n'attaquera pas le front nord. Nous resterons, cependant, forts et dissuasifs."
Et d’ajouter : "Si nous nous retrouvons en situation de conflit, nous n'irons pas chercher chaque membre du Hezbollah dans son village, ni chaque lanceur de roquettes caché sous un arbre". Mais nous tiendrons le gouvernement libanais responsable de toute attaque du Hezbollah. Nous déconseillons fortement toute forme d'hostilité."
Au sujet de l'Iran, "nous devons rester confiants", estime le ministre. "Israël est le pays le plus puissant dans un rayon de 1 500 km. Mais nos ennemis ne se reposent jamais et nous devons bien nous préparer."
Concernant d'éventuelles erreurs commises par l’entité sioniste dans les négociations pour libérer Guilad Shalit, Barak répond : "Je préférerais le voir chez lui, avec ses parents. C'est seulement à ce moment-là que nous pourrons mener toutes les enquêtes appropriées et tirer des conclusions. Et il n'y a aucun doute que des conclusions doivent être tirées, à la fois au sujet de Guilad et sur le risque de voir l'autre camp adopter cette méthode à l'avenir."
Barak, qui s’adressait à des lycéens israéliens a souligné : « Israël n'attaquera pas le front nord. Nous resterons, cependant, forts et dissuasifs."
Et d’ajouter : "Si nous nous retrouvons en situation de conflit, nous n'irons pas chercher chaque membre du Hezbollah dans son village, ni chaque lanceur de roquettes caché sous un arbre". Mais nous tiendrons le gouvernement libanais responsable de toute attaque du Hezbollah. Nous déconseillons fortement toute forme d'hostilité."
Au sujet de l'Iran, "nous devons rester confiants", estime le ministre. "Israël est le pays le plus puissant dans un rayon de 1 500 km. Mais nos ennemis ne se reposent jamais et nous devons bien nous préparer."
Concernant d'éventuelles erreurs commises par l’entité sioniste dans les négociations pour libérer Guilad Shalit, Barak répond : "Je préférerais le voir chez lui, avec ses parents. C'est seulement à ce moment-là que nous pourrons mener toutes les enquêtes appropriées et tirer des conclusions. Et il n'y a aucun doute que des conclusions doivent être tirées, à la fois au sujet de Guilad et sur le risque de voir l'autre camp adopter cette méthode à l'avenir."