Palestine - 8 mars 2011
Par Palestine Info
A l'occasion de la 100ème célébration de la journée internationale de la femme, un appel urgent est lancé pour la libération de Iman Ghazzawi, 36 ans, mère de deux enfants, incarcérée dans les prisons israélienne depuis 10 ans.
Le porte-parole du Ministère palestinien des prisonniers, Riyadh Al-Ashqar, a rappelé que Ghazzawi a été kidnappée le 8 mars 2001 et condamnée à 13 ans de prison.
Elle est une des quatre palestiniennes dont les maris sont aussi emprisonnés, elle est mariée à Shaher Asha, qui a été enlevé par l'armée sioniste cinq mois après sa femme. Leurs enfants, Samah, 12 ans et Jihad, 13 ans, vivent chez leur grand-mère.
Depuis qu'elle est en prison, Ghazzawi souffre de problèmes respiratoires et de douleurs à la tête, à l'estomac et aux articulations, conséquences des conditions d'incarcération très dures auxquelles elle est soumise.
Ashqar a précisé que l'administration pénitentiaire sioniste refuse systématiquement que les deux époux se rencontrent, après que la prison les ait séparés depuis 10 ans, alors que le droit israélien autorise les visites privées deux fois par an.
Le jour de sa rencontre habituelle avec ses deux garçons qui viennent la voir en prison, elle n'est autorisée à rester avec eux que 40 minutes et, les larmes aux yeux, elle les serre dans ses bras, leur promet de revenir bientôt à la maison et leur donne des bonbons et des jouets pour tenter de maintenir son rôle de mère.
Le Ministère appelle les organisations internationales qui se consacrent aux droits des femmes à intervenir d'urgence et à faire pression sur Israël pour que cette mère soit libérée et retrouve ses enfants, d'autant qu'elle a fait les deux tiers de son injuste condamnation.
Elle est une des quatre palestiniennes dont les maris sont aussi emprisonnés, elle est mariée à Shaher Asha, qui a été enlevé par l'armée sioniste cinq mois après sa femme. Leurs enfants, Samah, 12 ans et Jihad, 13 ans, vivent chez leur grand-mère.
Depuis qu'elle est en prison, Ghazzawi souffre de problèmes respiratoires et de douleurs à la tête, à l'estomac et aux articulations, conséquences des conditions d'incarcération très dures auxquelles elle est soumise.
Ashqar a précisé que l'administration pénitentiaire sioniste refuse systématiquement que les deux époux se rencontrent, après que la prison les ait séparés depuis 10 ans, alors que le droit israélien autorise les visites privées deux fois par an.
Le jour de sa rencontre habituelle avec ses deux garçons qui viennent la voir en prison, elle n'est autorisée à rester avec eux que 40 minutes et, les larmes aux yeux, elle les serre dans ses bras, leur promet de revenir bientôt à la maison et leur donne des bonbons et des jouets pour tenter de maintenir son rôle de mère.
Le Ministère appelle les organisations internationales qui se consacrent aux droits des femmes à intervenir d'urgence et à faire pression sur Israël pour que cette mère soit libérée et retrouve ses enfants, d'autant qu'elle a fait les deux tiers de son injuste condamnation.
Source : Palestine Info
Traduction : MR pour ISM