Une commission syndicale palestinienne a annoncé que les autorités algériennes ont annulé sa participation à un congrès régional arabe prévue en Alger, sous prétexte qu’elle possédait des documents israéliens que rejette le gouvernement algérien.
L’ambassade algérienne à Amman a refusé de donner des visas aux onze membres de la délégation, originaires des territoires occupés en 1948. Le chef de la délégation palestinienne Mohammad Zaydan a regretté dans un communiqué la décision algérienne d’annuler la participation de la délégation.
“Nous avons été choqués de cette annulation, après que tout le monde s’apprêtait au voyage », a-t-il dit, soulignant que le congrès « débattra de la cause palestinienne dont nous faisons partie, au moins sur le plan de nos détenus ».
Commentant les prétextes de l’ambassade algérienne, Zaydan a indiqué : « Nous sommes victimes d’Israël et de ses agissements. Depuis toujours, nous faisons face à deux cauchemars : Celui d’Israël qui nous marginalise depuis six décennies, et celui de la méconnaissance arabe officielle de notre réalité, comme si nous faisons partie du mouvement sioniste ». Plus d’un millier de personnalités arabes et étrangères représentant près de 50 pays, participent à ce congrès. A l’ordre du jour, des documents scientifiques, juridiques, sociaux et médiatiques, ainsi que des témoignages et des lettres de détenus libérés et de leurs familles. De plus, la Révolution algérienne et plusieurs exemples d’échanges de détenus seront exposés durant ce congrès.
Lien“Nous avons été choqués de cette annulation, après que tout le monde s’apprêtait au voyage », a-t-il dit, soulignant que le congrès « débattra de la cause palestinienne dont nous faisons partie, au moins sur le plan de nos détenus ».
Commentant les prétextes de l’ambassade algérienne, Zaydan a indiqué : « Nous sommes victimes d’Israël et de ses agissements. Depuis toujours, nous faisons face à deux cauchemars : Celui d’Israël qui nous marginalise depuis six décennies, et celui de la méconnaissance arabe officielle de notre réalité, comme si nous faisons partie du mouvement sioniste ». Plus d’un millier de personnalités arabes et étrangères représentant près de 50 pays, participent à ce congrès. A l’ordre du jour, des documents scientifiques, juridiques, sociaux et médiatiques, ainsi que des témoignages et des lettres de détenus libérés et de leurs familles. De plus, la Révolution algérienne et plusieurs exemples d’échanges de détenus seront exposés durant ce congrès.