[ 04/11/2010 - 12:02 ] |
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Beyrouth – CPI L'autorité de Fatah à Ramallah, à travers le prétendu représentant de l’OLP à Beyrouth, Abdullah Abdullah, a subi une attaque acerbe, lors de la conférence sur les « Politiques étrangères européennes envers la question palestinienne » organisée par le centre Al-Zaytouna pour les études et les consultations dans la capitale libanaise. Lors de sa lecture de son exposé intitulé « La dimension juridique de la politique étrangère européenne envers la question palestinienne », le professeur de droit international à l'Université du Roi Fayçal en Arabie Saoudite, Dr. Mahmoud al-Moubarak, a accusé l'autorité d'Abbas de « comploter pour empêcher les organisations internationales de poursuivre les criminels sionistes de guerre devant les tribunaux internationaux à cause de la dernière offensive sioniste menée contre la Bande de Gaza et l'embargo sioniste imposé contre le secteur ». Cette accusation a provoqué le représentant de l'OLP à Beyrouth, Abdullah Abdullah, qui a haussé la voix pour tenter de faire taire le chercheur, ce qui a nécessité l'intervention du directeur de la séance, l'ancien ministre d'Etat libanais, Adnan Essayed Hussein, en lui demandant de ne pas troubler. Dans la même séance, Abdullah Abdullah a été provoqué de nouveau lorsque la chercheuse libanaise, Dr. Layla Rahbani, a accusé l'OLP d’avoir commis une série d’erreurs et de fautes contre la question palestinienne, concernant le travail pour la défense de la cause palestinienne, et d’avoir manqué une opportunité de lancer un dialogue européo-palestinien. Abdullah a tenté de nier ce qui a été avancé par la chercheuse, au nom du penseur français, Alain Gresh. |