Les inégalités de revenus sont plus élevées en "Israël" que dans les 27 pays de l'Union européenne (UE), révèle le Bureau central des statistiques israélien dans un rapport publié lundi.
Le revenu moyen après impôts des 20% d'Israëliens disposant des plus hauts revenus est sept fois et demi plus élevé que celui de la tranche la plus défavorisée, selon ce rapport basé sur des données de 2008.
L'écart entre riches et pauvres a tendance à s'accroître: il y a dix ans, cet écart était de 6,5. A titre de comparaison, la tranche des plus riches dans l'UE gagne près de 5 fois plus que les plus pauvres.
En 2008, 29% de la population israélienne courait le risque de tomber sous le seuil de pauvreté (27% en 2000), selon ces statistiques.
Ce risque est nettement supérieur (38%) pour les enfants, en raison du nombre de familles nombreuses chez les Palestiniens et les juifs orthodoxes, les deux communautés les plus pauvres dans l'entité sioniste. Le risque de paupérisation des mineurs est de 19% dans l'UE.
Une personne est considérée en "Israël" dans une situation de risque de pauvreté si son emploi est menacé ou lorsque son revenu moyen mensuel divisé par le nombre de membres du foyer est inférieur à 2.000 shekels (400 euros).
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Le revenu moyen après impôts des 20% d'Israëliens disposant des plus hauts revenus est sept fois et demi plus élevé que celui de la tranche la plus défavorisée, selon ce rapport basé sur des données de 2008.
L'écart entre riches et pauvres a tendance à s'accroître: il y a dix ans, cet écart était de 6,5. A titre de comparaison, la tranche des plus riches dans l'UE gagne près de 5 fois plus que les plus pauvres.
En 2008, 29% de la population israélienne courait le risque de tomber sous le seuil de pauvreté (27% en 2000), selon ces statistiques.
Ce risque est nettement supérieur (38%) pour les enfants, en raison du nombre de familles nombreuses chez les Palestiniens et les juifs orthodoxes, les deux communautés les plus pauvres dans l'entité sioniste. Le risque de paupérisation des mineurs est de 19% dans l'UE.
Une personne est considérée en "Israël" dans une situation de risque de pauvreté si son emploi est menacé ou lorsque son revenu moyen mensuel divisé par le nombre de membres du foyer est inférieur à 2.000 shekels (400 euros).