Israël est en train de vendre le legs islamique et palestinien situé dans les territoires palestiniens de 1948.
Ce qui, selon la chaîne qatarie AlJazeera a poussé certains dirigeants arabes de l’intérieur, dont le député palestinien à la Knesset Massoud Ghanem à s’adresser au cabinet israélien pour qu’il lui fasse part de la surface de ce legs, de la partie chargée de son administration et de son exploitation et du montant des sommes qu’il procure au budget, en le louant ou en le vendant.
« C’est le Premier ministre israélien qui gère ces propriétés depuis 1948, et nous autres Musulmans n’en savons rien, quoiqu’il nous revient car c’est notre droit essentiel », a-t-il confié au micro d’AlJazeera.
Accusant le gouvernement israélien de vendre les propriétés foncières de ce legs, aussi bien les bâtiments que les terres, à des sociétés juives, à des organisations de colonies, à des villages coopératifs ou à des institutions étatiques.
En 1948, quelques 531 villages ont été détruits ainsi que leurs mosquées et cimetières.
Selon le responsable chargé du dossier des legs dans la fondation d’AlAqsa, Abdel Majid Aghbariyyé, la surface du legs équivaut à 1,2% de la superficie de la Palestine historique. Décomptant quelques 2500 bâtiments, mosquées et cimetières qu’Israël a confisqués, en fonction de la loi des absents.
Pour sa part le député palestinien à la Knesset Jamal Zahalké a accusé Israël « qui prétend ne pas s’emparer du legs de faire tout le contraire en s’emparant de leur majorité et en les exploitant commercialement ».
Selon lui, les autorités israéliennes refusent de révéler quoique ce soit sur le sort du legs musulman et le traire comme s’il s’agissait d’un secret d’état. Alors que qu’il se doit d’être sous la direction exclusive des Musulmans.
Dernièrement, l’entité sioniste a détruit le cimetière des Mamlouks situé à Yafa après l’avoir vendu à une société juive qui voudrait construire un hôtel à sa place.
Le bâtiment du palace historique d’Al-Amdane à Akka, faisant également partie du legs musulman, va avoir un sort similaire après avoir également été vendu à une société juive d’Europe.
« C’est le Premier ministre israélien qui gère ces propriétés depuis 1948, et nous autres Musulmans n’en savons rien, quoiqu’il nous revient car c’est notre droit essentiel », a-t-il confié au micro d’AlJazeera.
Accusant le gouvernement israélien de vendre les propriétés foncières de ce legs, aussi bien les bâtiments que les terres, à des sociétés juives, à des organisations de colonies, à des villages coopératifs ou à des institutions étatiques.
En 1948, quelques 531 villages ont été détruits ainsi que leurs mosquées et cimetières.
Selon le responsable chargé du dossier des legs dans la fondation d’AlAqsa, Abdel Majid Aghbariyyé, la surface du legs équivaut à 1,2% de la superficie de la Palestine historique. Décomptant quelques 2500 bâtiments, mosquées et cimetières qu’Israël a confisqués, en fonction de la loi des absents.
Pour sa part le député palestinien à la Knesset Jamal Zahalké a accusé Israël « qui prétend ne pas s’emparer du legs de faire tout le contraire en s’emparant de leur majorité et en les exploitant commercialement ».
Selon lui, les autorités israéliennes refusent de révéler quoique ce soit sur le sort du legs musulman et le traire comme s’il s’agissait d’un secret d’état. Alors que qu’il se doit d’être sous la direction exclusive des Musulmans.
Dernièrement, l’entité sioniste a détruit le cimetière des Mamlouks situé à Yafa après l’avoir vendu à une société juive qui voudrait construire un hôtel à sa place.
Le bâtiment du palace historique d’Al-Amdane à Akka, faisant également partie du legs musulman, va avoir un sort similaire après avoir également été vendu à une société juive d’Europe.