Un tollé a été soulevé dans les milieux israéliens par les derniers propos du président syrien Bachar ElAssad sur le contenu du message que le président israélien Shimon Perez lui a dernièrement adressé par le biais du président russe.
Selon ElAssad, Perez lui a proposé un marché en fonction duquel Tel Aviv restitue le plateau du Golan occupé, en échange de la rupture par Damas de ses liens avec Téhéran.
Selon les médias israéliens, le parti de droite Likoud est monté au créneau qualifiant cette proposition « si elle s’avérait être vraie de honteuse ».
Alors que le bureau du président s’est efforcé de nier les propos du dirigeant syrien, prétendant que le contenu de son message avait été falsifié. Le bureau indique que Perez voulait informer son homologue syrien qu’Israël n’avait nullement l’intention d’attaquer la Syrie. Il aurait fait part à son homologue russe qui l’avait convié à participer à la 65ème commémoration de la victoire des alliés contre les nazis, que « cinq Premiers ministres israéliens étaient disposés à prendre des mesures à long terme avec la Syrie, mais ce sont les Syriens qui ont refusé ».
A noter que les partis de droite israélienne sont unanimement contre la restitution du Golan à la Syrie, occupé depuis 1967, et puis annexé ultérieurement , surtout pour sa position stratégique qui permet à l’entité sioniste de surplomber la Syrie.
Ces dernières semaines, de nombreux hauts responsables militaires et sécuritaires israéliens ont demandé à la direction israélienne d’agir pour dégager la Syrie du camp de la résistance et de la persistance, qui compte en plus l’Iran, le Liban et la bande de Gaza. Sans oublier la Turquie et le Qatar qui se démarquent de plus en plus du camp qualifié de modéré.
Selon ElAssad, Perez lui a proposé un marché en fonction duquel Tel Aviv restitue le plateau du Golan occupé, en échange de la rupture par Damas de ses liens avec Téhéran.
Selon les médias israéliens, le parti de droite Likoud est monté au créneau qualifiant cette proposition « si elle s’avérait être vraie de honteuse ».
Alors que le bureau du président s’est efforcé de nier les propos du dirigeant syrien, prétendant que le contenu de son message avait été falsifié. Le bureau indique que Perez voulait informer son homologue syrien qu’Israël n’avait nullement l’intention d’attaquer la Syrie. Il aurait fait part à son homologue russe qui l’avait convié à participer à la 65ème commémoration de la victoire des alliés contre les nazis, que « cinq Premiers ministres israéliens étaient disposés à prendre des mesures à long terme avec la Syrie, mais ce sont les Syriens qui ont refusé ».
A noter que les partis de droite israélienne sont unanimement contre la restitution du Golan à la Syrie, occupé depuis 1967, et puis annexé ultérieurement , surtout pour sa position stratégique qui permet à l’entité sioniste de surplomber la Syrie.
Ces dernières semaines, de nombreux hauts responsables militaires et sécuritaires israéliens ont demandé à la direction israélienne d’agir pour dégager la Syrie du camp de la résistance et de la persistance, qui compte en plus l’Iran, le Liban et la bande de Gaza. Sans oublier la Turquie et le Qatar qui se démarquent de plus en plus du camp qualifié de modéré.