L'ambassadrice d'"Israël" à l'ONU a qualifié mardi de "minces" les chances que le Conseil de sécurité inflige des sanctions dures à l'Iran pour son programme nucléaire, la Chine et la Russie insistant pour la poursuite du dialogue avec Téhéran.
Gabriela Shalev a en outre prétendu que le monde avançait vers "une mauvaise alternative": ou bien l'Iran continue sa course vers la fabrication d'armes nucléaires, ce qui "fera planer la menace d'une guerre nucléaire sur la planète entière", ou bien l'Iran sera stoppé dans cet effort "par la force".
Elle a indiqué que cette seconde option était actuellement discutée par des dirigeants politiques et militaires américains et israéliens de haut rang. "Je ne peux pas en dire plus", a-t-elle dit.
Shalev a expliqué que la Chine et la Russie, qui disposent du droit de veto au Conseil de sécurité, "privilégiaient toujours la voie diplomatique" pour amener Téhéran à limiter ses ambitions nucléaires et rechignaient donc à approuver un quatrième train de sanctions proposé par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux.
"Les Chinois et les Russes espèrent toujours que la diplomatie marchera. Ils ne veulent pas porter préjudice au peuple iranien", a-t-elle ajouté.
Shalev a indiqué que si le Conseil n'adoptait pas de sanctions "paralysantes", Israël, qui considère l'Iran comme son pire ennemi, "compterait sur les pays eux-mêmes", comme les Etats-Unis et l'Union européenne, pour imposer des sanctions bilatérales à Téhéran.
Le Brésil et la Turquie, deux membres non permanents du Conseil de sécurité, ont également exprimé des réserves au sujet de nouvelles sanctions contre l'Iran.
Le Conseil a déjà adopté cinq résolutions, dont trois assorties de sanctions, pour exiger de l'Iran qu'il suspende ses activités nucléaires, notamment l'enrichissement de l'uranium. Téhéran les a toutes ignorées.
Gabriela Shalev a en outre prétendu que le monde avançait vers "une mauvaise alternative": ou bien l'Iran continue sa course vers la fabrication d'armes nucléaires, ce qui "fera planer la menace d'une guerre nucléaire sur la planète entière", ou bien l'Iran sera stoppé dans cet effort "par la force".
Elle a indiqué que cette seconde option était actuellement discutée par des dirigeants politiques et militaires américains et israéliens de haut rang. "Je ne peux pas en dire plus", a-t-elle dit.
Shalev a expliqué que la Chine et la Russie, qui disposent du droit de veto au Conseil de sécurité, "privilégiaient toujours la voie diplomatique" pour amener Téhéran à limiter ses ambitions nucléaires et rechignaient donc à approuver un quatrième train de sanctions proposé par les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux.
"Les Chinois et les Russes espèrent toujours que la diplomatie marchera. Ils ne veulent pas porter préjudice au peuple iranien", a-t-elle ajouté.
Shalev a indiqué que si le Conseil n'adoptait pas de sanctions "paralysantes", Israël, qui considère l'Iran comme son pire ennemi, "compterait sur les pays eux-mêmes", comme les Etats-Unis et l'Union européenne, pour imposer des sanctions bilatérales à Téhéran.
Le Brésil et la Turquie, deux membres non permanents du Conseil de sécurité, ont également exprimé des réserves au sujet de nouvelles sanctions contre l'Iran.
Le Conseil a déjà adopté cinq résolutions, dont trois assorties de sanctions, pour exiger de l'Iran qu'il suspende ses activités nucléaires, notamment l'enrichissement de l'uranium. Téhéran les a toutes ignorées.