15 détenues palestiniennes se trouvent dans la prison sioniste Hasharon et vivent dans des conditions très difficiles notamment avant le début de l’hiver.
Un rapport de l’instance des détenus libéré publié jeudi 2/10 a rappelé que l’administration de la prison traite les prisonnière de manière contradictoire avec toutes les lois internationales qui protègent notamment les femmes. La prison ne leur accorde pas les besoins vitaux les plus essentiels à l’intérieur de la prison. Les prisonnières sont victimes de négligences médicales et sont interdites des visites familiales, elles sont exténuées par les transferts et les traitements inhumains que les geôlières leur réservent.
Le rapport indique que les détenues sont Lina Jroubi, Fida Chibani, Nahil Abou Aicha, Rassmia Blaouna, Samaher Zineddine, Filistine Najm, Tahrir Al Qona, Wiam Assida, Shirin Aissaoui, Bouchra Al Taouil, HIba Abou Jaja, Dima Sawahra et Tharia Taha.
L’instance a appelé dans son communiqué tous les libres du monde ainsi que les défenseurs des droits de la femme à mettre en lumière les souffrances des détenues et de lutter pour les faire libérer, de ne pas les laisser seules face aux conditions de la prison sauvage dans laquelle elles subissent tous les jours des agressions surtout que l’administration de la prison les a placées juste à côté des détenues criminelles, ce qui accentue leurs souffrances.