Gaza - 1 juillet 2011
Par Maan News
Tel Aviv—L’accent mis sur les organisateurs de la flottille d’aide humanitaire est trompeuse et néglige les réels obstacles au développement de la Bande de Gaza, a déclaré mercredi l’organisation israélienne Gisha dans un communiqué.
« Le problème à Gaza n’est pas un manque de nourriture mais plutôt une violation du droit à un travail digne et productif » a indiqué le directeur exécutif de Gisha, Sari Bashi.
« Il existe juste une solution qui respectera les droits des résidents de Gaza à circuler librement et à posséder un métier tout en protégeant les intérêts légitimes de sécurité israélien : Israël doit lever l’interdiction sur l’entré des matériaux de construction, la sortie des marchandises et sur la circulation entre Gaza et la Cisjordanie . »
Le communiqué a rapporté qu’au moins 83% des usines de Gaza restent fermées ou travaillent au mieux à 50% de leurs capacités.
Le maintient de l’interdiction sur les exportations, l’entré des matériaux de construction, et la circulation entre Gaza et la Cisjordanie contredit également la décision israélienne de 2010 servant à faciliter la reprise économique de Gaza, déclare Gisha.
Le secteur manufacturier n’a pas eu une seule chance de récupérer sous les restrictions israéliennes, indique un rapport affirmant que pas un seul camion n’a été autorisé à quitter Gaza depuis le 12 Mai.
Même pendant la saison agricole hivernale, quand Israël a autorisé l’exportation de la production agricole, les quantités étaient économiquement négligeables ; une moyenne de 2 camions par jour, comparé aux 400 camions par jour autorisés des suites de l’Accord de 2005 sur l’Accès et la Circulation, selon Gisha.
L’état israélien a complètement interdit les biens à destination d’Israël et de la Cisjordanie , même si avant 2007, 85% des biens quittant Gaza étaient vendus à Israël et à la Cisjordanie .
Israël a imposé un blocus sur la Bande de Gaza en 2007.
Les associations de Défense des Droits de l’Homme ont caractérisé le blocus comme étant une forme de punition collective pour les 1,6 millions d’habitants de Gaza.
« Il existe juste une solution qui respectera les droits des résidents de Gaza à circuler librement et à posséder un métier tout en protégeant les intérêts légitimes de sécurité israélien : Israël doit lever l’interdiction sur l’entré des matériaux de construction, la sortie des marchandises et sur la circulation entre Gaza et la Cisjordanie . »
Le communiqué a rapporté qu’au moins 83% des usines de Gaza restent fermées ou travaillent au mieux à 50% de leurs capacités.
Le maintient de l’interdiction sur les exportations, l’entré des matériaux de construction, et la circulation entre Gaza et la Cisjordanie contredit également la décision israélienne de 2010 servant à faciliter la reprise économique de Gaza, déclare Gisha.
Le secteur manufacturier n’a pas eu une seule chance de récupérer sous les restrictions israéliennes, indique un rapport affirmant que pas un seul camion n’a été autorisé à quitter Gaza depuis le 12 Mai.
Même pendant la saison agricole hivernale, quand Israël a autorisé l’exportation de la production agricole, les quantités étaient économiquement négligeables ; une moyenne de 2 camions par jour, comparé aux 400 camions par jour autorisés des suites de l’Accord de 2005 sur l’Accès et la Circulation, selon Gisha.
L’état israélien a complètement interdit les biens à destination d’Israël et de la Cisjordanie , même si avant 2007, 85% des biens quittant Gaza étaient vendus à Israël et à la Cisjordanie .
Israël a imposé un blocus sur la Bande de Gaza en 2007.
Les associations de Défense des Droits de l’Homme ont caractérisé le blocus comme étant une forme de punition collective pour les 1,6 millions d’habitants de Gaza.
Source : Maan News
Traduction : BL pour ISM