[ 02/07/2011 - 01:34 ] |
|
Bruxelles – CPI La "Campagne européenne pour briser le blocus de Gaza", dont le siège est à Bruxelles, s’est montrée indignée de la soumission des autorités grecques aux menaces sionistes, en interdisant le départ de la flottille internationale "Liberté 2" vers la bande de Gaza, encerclée depuis cinq ans. Dans un communiqué dont notre Centre Palestinien d’Information (CPI) a reçu une copie, Dr. Arafat Madi, président de la campagne, a dit que le mouvement international de solidarité avec les Palestiniens encerclés est de plus en plus fort ; l’occupant est de plus en plus mis à nu. Parmi les objectifs de la flottille, c’est de faire connaître au monde la question injuste du siège de la bande de Gaza, par le biais des médias. Cet objectif a bien réussi. D’innombrables médias, de différents pays, ont déjà parlé des effets négatifs du blocus sur la bande de Gaza et sur ses habitants. La campagne européenne participe à la flottille internationale "Liberté 2". Son président a insisté à dire qu’ils continuent les tentatives visant à briser ce blocus qui vient à l’encontre de toutes les lois humaines et internationales. Ce blocus est même un crime de guerre. A souligner que les autorités grecques ont officiellement affirmé aux organisateurs de la flottille internationale "Liberté 2" qu’elles ne permettraient pas aux bateaux de la flottille d’appareiller en direction de la bande de Gaza, sans donner aucune excuse. A souligner que Benyamin Netanyahu, le premier ministre israélien, a remercié les pays qui avaient pratiqué des pressions pour interdire le mouvement de la flottille internationale "Liberté 2", en particulier le gouvernement grec, les Etats-Unis, ainsi que le secrétaire général de l’ONU. |